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jeudi 30 août 2012

A Gagner Un four multifonction Baumatic "TG1" avec 1 table vitrocéramique "TG 2" et 1 hotte "TG3" (3350 euros)

31/10/12 - 162206 - Côté Maison - France - être majeur. - Direct
Un four multifonction Baumatic "TG1" avec 1 table vitrocéramique "TG 2" et 1 hotte "TG3" (3350 euros)
1 question - Réponse : La possibilité de créer deux véritables zones continues... Principe : envoyez votre réponse et vos coordonnées par mail pour participer au tirage au sort.
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A Gagner Un week-end à Saint-Tropez (83) pour 2 personnes du 29 septembre au 1er octobre (au départ de Paris - 2000 euros)

La Chaîne Météo - 4*
Un week-end à Saint-Tropez (83) pour 2 personnes du 29 septembre au 1er octobre (au départ de Paris - 2000 euros)
3 questions - Réponses : 1) Nioulargue. 2) Robe di Kappa. 3) Fleur d’oranger. Principe : inscrivez-vous (ou identifiez-vous) sur le site pour valider votre participation.
Limitations : être majeur
Date limite : 08/09/12 - Pays : France
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mercredi 29 août 2012

17 Afghans décapités lors d’une fête, les autorités accusent les talibans

Les autorités afghanes ont accusé lundi 27 août les talibans d’avoir décapité 17 civils qui participaient à une fête avec musique et danse dans le sud du pays, alors que deux soldats de l’Otan et dix soldats afghans ont péri dans deux attaques.
Les quinze hommes et deux femmes décapités ont été attaqués dimanche soir lors d’une soirée dans un village de Musa Qala, un district de la province du Helmand connu pour être un bastion traditionnel de la rébellion talibane.
C’est l’oeuvre des talibans, a déclaré le porte-parole des autorités provinciales Daud Ahmadi, ajoutant que les victimes étaient en train de faire la fête avec de la musique et en dansant dans une zone contrôlée par les rebelles, des propos confirmé par l’administration du district.
L’attaque n’a pas été revendiquée
Pendant qu’ils étaient au pouvoir (1996-2001) les talibans avaient interdit la musique et les fêtes et recouraient régulièrement aux exécutions publiques.
Un responsable local a indiqué sous couvert de l’anonymat que les deux femmes tuées étaient peut-être des danseuses issues d’une tribu locale, régulièrement sollicitées pour se produire lors de fêtes privées dans la région.
Les talibans, chassés du pouvoir à la fin 2001 par une coalition militaire internationale menée par les Etats-Unis, combattent depuis sans relâche le gouvernement de Kaboul et son alliée de la force de l’Otan (Isaf). Les rebelles ont été accusés plusieurs fois par le passé d’avoir décapité des civils qu’ils auraient soupçonnés d’être des espions du camp d’en face.
Selon Haji Musa Khan, un chef tribal de Musa Qala, au moins quatre autres personnes ont été ainsi tuées ces derniers mois dans la région, souvent après des opérations menées sur place par les forces afghanes et de l’Otan.
Quelques heures plus tard, tôt lundi matin dans un autre district du Helmand, les talibans ont attaqué un poste militaire et tué dix soldats afghans, selon les autorités locales, qui ont évoqué un complot fomenté par des soldats infiltrés.
Daud Ahmadi a estimé que l’attaque était le résultat d’un complot venu de l’intérieur impliquant des soldats afghans qui ont aidé les insurgés.
Quatre soldats ont été blessés et cinq autres se sont enfuis avec les talibans en emportant leurs armes, a-t-il ajouté.
Il a également été question d’infiltration dans le Laghman, province de l’est proche de la capitale Kaboul, où l’Isaf a été victime d’une nouvelle attaque lancée par un des soldats afghans qu’elle forme en vue de son retrait de ce pays prévue fin 2014.
Un membre de l’armée nationale afghane a retourné son arme contre des soldats de l’Isaf, tuant deux d’entre eux, a annoncé lundi un porte-parole de la force. L’assaillant a été tué en retour par des soldats de l’Isaf, a-t-il ajouté.
Cet incident porte à 42 le nombre des soldats de l’Otan tués par des soldats ou des policiers afghans ou rebelles infiltrés dans leurs rangs cette année -dont 12 pour le seul mois d’août- soit 13% des pertes totales de l’Isaf.
La flambée de ces attaques de l’intérieur inquiète particulièrement les Etats-Unis, qui dirigent l’Isaf, et le gouvernement afghan, dont les troupes sont censées prendre le relais de la force internationale et assurer elles-mêmes la sécurité de l’Afghanistan d’ici à la fin 2014.
Source: AFP

mardi 28 août 2012

Décès de Stéphane Slima, acteur de Sous le soleil

Le comédien Stéphane Slima, connu pour son rôle dans la série Sous le soleil / Crédits : Abaca

L'un des comédiens principaux du célèbre feuilleton de TF1 est mort dimanche à l'âge de 41 ans des suites d'un accident vasculaire cérébral, selon son agent Muriel Belgy.
Ancien pensionnaire de la Comédie Française, l'acteur est décédé après avoir été victime d'un malaise, alors qu'il était en vacances dans sa demeure de L'Ile de Ré. De 1996 à 2008, Stéphane Slima incarna Alain Dulac, l'un des personnages principaux de la série "Sous le soleil" qui rencontra un vif succès pendant douze ans et qui fut exportée dans une centaine de pays, généralement sous le nom de "Saint-Tropez". Moins d'une semaine après l'annonce de son retour sur TMC avec une commande de seize nouveaux épisodes, le bonheur laisse place aux larmes pour la série.
Une belle filmographie
Jean-Paul Rappeneau avait dès 1989 repéré le talent de Stéphane Slima en lui offrant un rôle dans "Cyrano de Bergerac". L'acteur enchaîna les rôles au début des années 90 sous la direction de cinéastes comme Henri Verneuil ("588 rue paradis"), Bertrand Blier ("Un, deux, trois, soleil") et Martine Dugowson ("Mina Tannenbaum") avant de travailler activement pour le petit écran dans de nombreux téléfilms et séries. On peut notamment citer ses apparitions dans "Extrême limite", "Julie Lescaut", "Avocat & associés", "SoeurThérèse.com" et "Diane, femme flic".
 
Stéphane Slima était également un homme de théâtre et devait retrouver la troupe de "Piège à Matignon", la pièce de Jean-Pierre Pernaut, pour une tournée après un succès parisien. En 2002, il avait donné la réplique à Michel Galabru dans "Les affaires sont les affaires". Il avait été engagé par Jacques Fabbri en 1990 pour "Le malade imaginaire".
 
Une cérémonie sera célébrée le 3 septembre à 9h30 au crématorium de La Rochelle. 
source : TF1

Le cannabis perturbe durablement le cerveau

La consommation durant l'adolescence a un retentissement jusqu'à l'âge adulte.
Il est des études qui demandent du temps. Par exemple, estimer l'impact persistant de la consommation de cannabis sur les performances du cerveau aura pris près de quarante ans. C'est grâce à l'étude de Dunedin, du nom de la petite ville de Nouvelle-Zélande où elle a été conduite, que l'on en sait plus aujourd'hui sur les effets d'une drogue, finalement pas si douce que ça. Une cohorte de 1 037 enfants nés en 1972-73 y a été testée régulièrement à 5, 7, 9, 11, 13, 15, 18, 21, 26, 32 et 38 ans!
Les résultats sont inquiétants, car les scientifiques néo-zélandais, aidés de chercheurs de l'Université de Duke (États-Unis) et du King's College de Londres, confirment la plus grande vulnérabilité du cerveau des jeunes à la neurotoxicité du cannabis. On le suspectait, c'est désormais prouvé.
À 38 ans, ceux qui ont commencé à consommer du cannabis à l'adolescence ont en effet perdu quelques points de QI (quotient intellectuel). Jusqu'à huit points de QI en moins pour les enfants de l'étude de Dunedin qui se sont avérés les consommateurs les plus réguliers au fil des ans. Ce n'est évidemment pas le cas pour ceux qui n'ont jamais fumé d'herbe.
Et cette fois, impossible de soutenir que la diminution des performances du cerveau des fumeurs de cannabis viendrait d'une différence déjà présente antérieurement à la consommation, puisque les enfants sont suivis depuis leur plus jeune âge.
Autre point fort de ce travail publié aujourd'hui dans les comptes rendus de l'Académie américaine des sciences (PNAS), la fiabilité des réponses. Comme les enfants de Dunedin sont habitués à la confidentialité de leurs réponses, on évite le biais de sous-déclaration habituel dans ce genre d'enquête. Les chercheurs ont aussi pris la précaution d'éliminer d'autres facteurs qui auraient pu perturber la validité des tests, par exemple la consommation de cannabis dans la semaine précédente, la dépendance à l'alcool ou une autre drogue, le nombre d'années de scolarité. Chaque fois se confirme une différence significative entre les consommateurs de cannabis et les autres, à l'avantage des abstinents.
Mais les anomalies ne se cantonnent pas aux tests psychométriques, elles semblent aussi se traduire dans la vie de tous les jours. Ainsi dans la cohorte de Dunedin: «Les personnes ayant déclaré consommer régulièrement du cannabis étaient aussi ceux qui rapportaient, à 38 ans, le plus de problèmes de mémoire ou d'attention.»

Séquelles irréversibles

De plus, commencer à fumer à l'adolescence, au moment où la maturation du cerveau n'est pas encore terminée, entraîne une plus grande perte de QI par rapport à ceux qui ont débuté à l'âge adulte. Enfin, les séquelles irréversibles ne sont pas exclues puisque, remarquent les auteurs, «l'arrêt ne restaure pas complètement les fonctions neuropsychologiques de ceux qui ont commencé à l'adolescence». Or, les statistiques montrent que c'est à l'adolescence qu'il y a le plus de risque de commencer à fumer du cannabis (voir encadré).
Déjà, en 2008, des études avaient montré des altérations neurochimiques persistantes du cerveau de rats soumis au cannabis dans une période correspondant à l'adolescence humaine. Les chercheurs évoquaient alors l'existence d'un intervalle de vulnérabilité neurale accru à l'exposition au cannabis. Il y a deux ans, c'est le Pr John Churchwell et ses collègues neurobiologistes de l'Université de l'Utah qui identifiaient chez des adolescents, grâce à l'IRM, une diminution du volume du cortex préfrontal des consommateurs de cannabis. En outre, cette zone, qui joue un rôle dans la planification, la prise de décision et le contrôle de l'impulsivité, était d'autant plus touchée que les fumeurs avaient commencé tôt.
L'an dernier, c'est une étude publiée dans la revue Behavioural Brain Research qui revenait sur le virage crucial de l'adolescence, sur le plan de la maturation neurologique: «Même si des anomalies structurales n'impliquent pas toujours des anomalies fonctionnelles, ­elles suggèrent que les anomalies du cortex et de l'insula observés chez les adolescents qui prennent du cannabis peuvent affecter leurs capacités de décision et accentuer la pulsion à consommer en dépit de ses conséquences négatives.» Pour les chercheurs néo-zélandais, les mesures de prévention dirigés vers les adolescents devraient être renforcées.

En France, plus d'un ado sur cinq a fumé un joint au collège

Selon l'Observatoire français des drogues et des toxicomanies, la France compterait 3,9 millions de consommateurs, dont 1,2 million réguliers. Quant au volet drogues de l'enquête européenne Health Behaviour in School Aged Children, menée sur plus de 11 000 adolescents en France (nos éditions du 3 mai 2012), il montre que, en troisième, un garçon sur quatre et plus d'une fille sur cinq a déjà consommé du cannabis. L'usage régulier concerne 3 % des adolescents de 15 ans et, depuis 2006, la consommation reste stable pour les élèves de cet âge, comme d'ailleurs pour ceux de 11 ans. Les experts notent cependant une augmentation inquiétante à l'âge de 13 ans: de 4,8 % en 2006 à 6,4 % en 2010.
source : Le Figaro

A Gagner Un séjour pour 2 personnes à Marrakech (vol A/R, 5 jours:4 nuits hébergement en hôtel avec les petit-déjeuners, visite de la ville avec un guide et dîner dans un restaurant - 2500 euros)

13/09/12 - 162143 - Figaro Madame - France - être majeur. - Direct
Un séjour pour 2 personnes à Marrakech (vol A/R, 5 jours:4 nuits hébergement en hôtel avec les petit-déjeuners, visite de la ville avec un guide et dîner dans un restaurant - 2500 euros)
2 questions - Réponses : 1) Près de 39 000. 2) Mytravelchic.com. Nota : les questions peuvent vous être posées dans un ordre différent du nôtre. Attention : lors de la validation la case pour recevoir l'actualité et les bons plans est pré-cochée.
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Tennis, Interview G. Simon Simon : «J’ai mal !»

Épuisé à la fin de son match du premier tour de l’US Open, remporté face à l’Américain Michael Russell en cinq sets dans la nuit de lundi, Gilles Simon est diminué par une douloureuse fissure du sous-épineux à l’épaule droite, mais veut tout de même tenter le coup.
Gilles, vous étiez manifestement diminué…
Gilles Simon : Oui, mais bon je le savais avant d’y aller, donc pas de surprise pour moi. Je crois que j’ai eu le match que j’attendais en fait. Cela a été très dur, c’est certainement les 45 points (ATP) les plus mérités de l’année et je suis content d’avoir gagné ce match.
Cela valait la peine de l’avoir joué du coup ?
Je vais essayer de jouer le moins de matches possibles (Ndlr : à cause de sa blessure), mais là c’est un tournoi du Grand Chelem et cela fait un mois que je suis là, je me suis dit : «allez, je vais essayer» (il rit nerveusement). Et puis surtout, maintenant que je sais que cela ne s’aggrave pas, j’y vais et j’attends que ça passe. Je le prends juste comme du bonus, j’essaie de faire ce que je peux. C’est quand même mieux pour moi de jouer un mec comme Russell, qui ne sert pas non plus que des obus, sinon c’est très déséquilibré. Maintenant, au deuxième tour, on verra ! Je savais que j’avais une petite chance de gagner ce match, que ça allait être très compliqué et cela l’a été. Je n’ai fait que du physique pendant dix jours, puisque je n’avais que cela à faire, donc du coup d’avoir gagné en 4h30 ça fait plaisir.
Est-ce que ce fut l’un des matchs les plus durs de votre carrière ?
Oui, car normalement dans un match, d’un côté comme de l’autre, il y a des points gratuits. Or là avec mon service… Moi c’est zéro et lui, bon, pas des masses non plus, donc du coup c’est 4 heures et demi de droite-gauche, et tu les sens passer.
Expliquez-nous justement, comment se ressent votre blessure sur votre service ?
J’ai mal ! J’ai mal, c’est tout. Si je sers, j’ai mal, donc j’essaie de servir sans avoir mal, donc je ne force pas, je n’ai pas envie de tout casser du coup. Je ressens aussi la douleur quand je joue du fond du court, même si je ne frappe pas très fort, mais je bouge bien, je sens que je peux jouer du fond, contrer, je suis dur à déborder… Donc voilà je suis là, cela fait un mois que je me bats avec cela, et là je suis arrivé sur le match en pensant pouvoir gagner et la preuve, c’est que je l’ai fait.
J’avais juste peur de prendre une grosse rouste
— Gilles Simon
Vous êtes-vous fait peur quand même, en pensant ne pas pouvoir remonter, une fois mené deux sets à un par exemple ?
Au fond, je m’en foutais un peu, j’étais très détendu en rentrant sur le terrain, après j’avais juste peur de prendre une grosse rouste et d’être ridicule. Mais quand j’ai vu qu’il y avait match, je me sentais mieux, je me suis bien énervé à la fin du troisième quand même ! Mais bon j’avais un adversaire où c’était du 50-50, c’est difficile, c’est dur de chaque côté et je vois qu’à la fin du troisième il n’était pas très beau non plus. Je me suis accroché et puis j’ai pu passer devant et rester devant même si cela a été dur.
Avez-vous pris du plaisir quand même durant cette rencontre ?
Non, là aucun. Aucun. J’avais juste envie d’essayer de gagner. Voilà, je m’étais mis ça en tête : «je vais essayer de gagner», en sachant que cela allait être dur et affreux. J’aurais pu perdre, cela ne se joue à rien. Et je suis content d’avoir gagné, j’espère qu’au prochain tour je ne serai pas ridicule !
Dans ces conditions, à quoi cela rime-t-il de jouer alors ?
À rien ! Encore une fois, je sais que je n’ai aucune chance de me faire plus mal que cela, donc voilà j’y vais, cela va mettre du temps à passer. Je continue de travailler, ce dont on ne se rend pas compte c’est que là c’est beaucoup (il insiste fortement et longuement sur ce mot) mieux qu’il y a une semaine, donc c’est ça qui est drôle (il rit) ! Si cela sourit un peu, si j’arrive à avancer dans la semaine, on ne sait jamais… Il ne vaudrait mieux pas que ce soit un gros serveur en face quand même.
source : sport24

Recette : Bricks à la volaille et au comté

Pour  4 Personne(s)


Ingrédients
pour Bricks à la volaille et au comté

  • 8 escalopes de dinde très fines
  • 8 feuilles de brick
  • 200 g de comté
  • sel, poivre
  • 1 c. à soupe d'huile de tournesol
  • 10 g de beurre

Préparation
pour Bricks à la volaille et au comté

Commencez par découper le comté en 8 bâtonnets. Aplatissez vos escalopes au marteau de façon à ce qu'elles soient bien fines. Salez-les et poivrez-les.
Enveloppez les bâtonnets de comté avec les escalopes de veau en formant un rouleau. Enveloppez ensuite les escalopes dans les feuilles de brick. Pour cela, déposez votre bâtonnet comté/dinde sur le bas d'une feuille de brick et enroulez-le sur lui-même. Repliez les deux extrémités qui dépassent à l'intérieur du rouleau. Procédez ainsi pour chaque bâtonnet.
Dans une poêle, faites chauffer l'huile et le beurre. Lorsque le beurre commence à mousser, faites-y frire les croustillants environ 10 min en les retournant régulièrement.
Déposez les croustillants sur du papier absorbant pour éliminer le surplus d'huile. Servez-en deux par personne et accompagnez de salade verte.
source : cuisineaz

Une tondeuse autonome pour Honda

Connu pour ses nombreuses expériences dans le domaine de la robotique, Honda annonce se lancer sur le marché des tondeuses autonomes avec la Miimo.
Fabriquée en France, et commercialisée début 2013 en Europe, la Miimo sera disponible en deux versions, 300 et 500. Noms donnés en fonction du périmètre maximum d'action, soit 300 mètres pour la première et 500 pour la seconde.
Pour son fonctionnement, Honda assure que cette tondeuse autonome coupera le gazon plusieurs fois par semaine, et de manière aléatoire quand à son parcours de tonte pour ne pas trop "stresser" la pelouse.
Avec une coupe allant de 20 à 60 mm à chaque passage, il ne sera pas nécessaire de ramasser le gazon coupé puisque ce dernier sera dispersé sur l'herbe afin d'obtenir un fertilisant naturel.
Afin d'éviter que les trois lames s'encrassent de résidus d'herbes notamment, Honda a intégré un système de ventilateurs pour les nettoyer.
Autonome, cette tondeuse fonctionne sur une batterie lithium-ion et se recharge seule sur sa base.
source : femme actuelle

lundi 27 août 2012

Cyclisme, Tour de France «Armstrong était protégé»

Dans un entretien au Journal Du Dimanche, l’avocat Thibault de Montbrial assure que Lance Armstrong «était protégé» en France durant le Tour. Un témoignage accablant.
Comment est-il passé à travers les contrôles ?
Après la chute de Lance Armstrong, les langues se délient et l’organisation dont jouissait l'Américain durant ses années sur le Tour de France est mise à mal. «Les préleveurs ont éprouvé des difficultés à effectuer des contrôles inopinés sans que Lance Armstrong puisse bénéficier d'un délai de vingt minutes, témoigne Michel Rieu, conseiller scientifique de l’Agence française de lutte contre le dopage chez nos confrères du Monde. Il a été prévenu avant tous ses contrôles. En vingt minutes, beaucoup de manipulations sont possibles. Il effectuait des perfusions de sérum physiologique pour diluer son sang. Il remplaçait sa propre urine par une urine artificielle. Il s'administrait l'EPO par petites doses. La substance était indécelable.» Et le spécialiste d’ajouter que «sans les renseignements de la gendarmerie ou de la douane, il était impossible de combattre cette méthode
Etait-il «protégé» ? Par qui ?
C’est la grande question. Si l’Américain bénéficiait de moyens financiers conséquents, les nombreux appuis dont il aurait pu bénéficier, pour éviter d’être pris par la patrouille, sont à prendre en compte. «En France, tout le monde a fermé les yeux, assure Me Thibault de Montbrial, avocat dans l’affaire Festina et dans un dossier au Texas contre Armstrong, dans les colonnes du JDD. Lors du Tour de France 2005, l’équipe US Postal d’Armstrong a été à deux doigts d’écoper une perquisition à son hôtel. Je sais de très bonne source que vers 17 heures, alors qu’ils étaient devant l’hôtel, les enquêteurs français ont reçu un feu rouge. Et l’opération prévue a été annulée à la dernière minute. Je ne sais pas qui a donné cet ordre (…) A l’évidence, Lance Armstrong était bel et bien protégé en France.» Un avis partagé par Michel Rieu, qui va encore plus loin en affirmant que «ces appuis débordaient sur l’UCI et sur le Comité international olympique


Quelle était son organisation sur le Tour ?
Durant ses années sur le Tour de France, bon nombre d’observateurs se montraient impressionnés, voire interloqués face au grand barnum déployé par le clan Armstrong pour se protéger. «C'était fort Chabrol, ajoute Michel Rieu très au point sur cette question. On ne savait qu'à la dernière minute dans quel hôtel il s'était installé. D'où ces nombreux barrages. Ce fut un vrai parcours du combattant car il était prévenu sur ses lieux de résidence.» Et sa puissance financière faisait aussi la différence. «Il avait des moyens considérables pour se protéger et mettre en place une logistique. La rumeur voulait qu'il eût fait acheminer du sang depuis les Etats-Unis dans son jet privé
Comment était-il perçu au sein du peloton ?
Toute sa carrière fut l’occasion de mettre en relief le caractère bien trempé du Texan. Agaçant pour les uns, présomptueux pour les autres, Armstrong ne laissait personne indifférent. «Il s’est comporté en parrain du peloton, avance Me Thibault de Montbrial. C’est quelqu’un de manipulateur, capable de faire pression sur les autres coureurs.» Souvent, l’Américain n’a pas hésité à intimider verbalement et physiquement ses détracteurs. «Notamment ceux qui auraient voulu parler, comme Christophe Bassons par exemple (Ndlr : le Français s’était érigé contre le système Armstrong en 1999 sur le Tour de France et s’était mis le peloton à dos en prenant position contre le dopage)», argumente l’avocat.
Pourquoi jette-t-il l’éponge ?
 En décidant de dire stop à la procédure lancée contre lui, Armstrong opère un repli tactique parfaitement étudié. Jouissant d’une réputation hors du commun aux Etats-Unis, il n’a pas souhaité courir le risque du procès dans son pays. «C’est devoir témoigner sous serment, or vous ne faites plus carrière en politique aux Etats-Unis dans ce cas de figure, précise De Montbrial. Il fait donc ce qu’il a toujours fait, de la godille judiciaire. Il sait que tous les témoignages risquent d’être accablants. Il préfère dire qu’il arrête de se défendre, sans admettre le moindre dopage et perdre tous ses trophées. Mais il évite de témoigner. C’est un froid calcul… Il avait le choix entre le mal et le pire. Il a choisi un mal. Mais nul ne sait encore jusqu’où ira l’affaire
source : sport24

New York au rythme des parades

Kilt, sporran accroché à la ceinture et cornemusede rigueur pour la parade du Tartan Day. En 1998, leSénat officialisait la date du 6 avril pour célébrer les liens historiques qui unissent la communauté écossaisedes États-Unis à son pays d'origine.


Tout au long de l'année, les New-Yorkais défilent pour manifester leur appartenance à une nation, une religion ou une communauté. Drôles, sérieuses, iconoclastes, ces parades colorées sont un hommage aux racines multiculturelles de la ville.

Une marée verte déferle depuis 11 heures du matin sur Manhattan. Chaque 17 mars, près de 2 millions de New-Yorkais marchent sur la 5e Avenue pour célébrer la Saint-Patrick, le saint patron de l'Irlande. Au pied des gratte-ciel du Rockefeller Center, les cortèges de policiers, pompiers, majorettes se succèdent au son de la cornemuse et des roulements de tambour. Coiffé d'un chapeau pointu orné de trèfles, le visage peinturluré aux couleurs du drapeau irlandais (vert, blanc, orange), Jack O'Rourke joue les guides: «La première Saint-Patrick a eu lieu en 1762, soit quatorze ans avant la déclaration d'indépendance des États-Unis, et c'était à New York! Oui, Monsieur!» Ce barman, dont les grands-parents ont immigré aux États-Unis dans les années 20, sait mettre l'ambiance. «Vous avez déjà bu de la bière verte? Venez goûter! Ne soyez pas timides!» lance-t-il à la cantonade.
À New York, il est interdit de boire de l'alcool dans la rue. La dégustation se passe au pub. «Autrefois, la Saint-Patrick était une fête catholique réservée aux Irlandais. C'est devenu une célébration ouverte à tous ceux qui aiment se déguiser en vert, chanter, danser et boire», s'enthousiasme Jack. Difficile de le contredire. En témoignent les badges «Aujourd'hui, je suis irlandais», accrochés aux écharpes de milliers de New-Yorkais. Pour la bonne société irlandaise de New York, il en va pourtant autrement. Les organisateurs, réunis au sein de la Société historique américaine irlandaise, refusent que les gays d'origine irlandaise prennent part au défilé. Farouchement opposé au mariage homosexuel, Timothy Dolan, archevêque de New York, est désormais dans le viseur de la communauté gay. Celle-ci s'est offusquée que la mairie participe au financement des travaux de rénovation de la cathédrale Saint-Patrick, d'un montant de 177 millions de dollars (145 millions d'euros).

Une façon de montrer sa fierté pour ses origines

À l'instar des Irlandais, chaque groupe d'immigrants a sa parade. Nouvel An lunaire pour les Chinois, Fête de San Gennaro pour les Italiens, Pulaski Parade pour les Polonais, Steuben Parade pour les Allemands, Tartan Day pour les Écossais... Tout au long de l'année, les New-Yorkais défilent pour manifester leur appartenance à une nation, une religion ou une communauté. Une façon de montrer sa fierté pour ses origines, tout en rendant hommage aux racines multiculturelles de la ville. Terre d'élection des immigrés, New York est un singulier melting-pot. Au gré des vagues d'immigration, Grecs, Mexicains, Haïtiens, Philippins, Pakistanais sont, chacun à leur tour, descendus dans les rues pour parader. Pour les derniers arrivés, il s'agit de s'intégrer.
Si New York est une ville plurielle dotée d'une étonnante capacité d'assimilation, celle-ci ne s'est pas construite sans heurts ni violence.Le film West Side Story met en scène la rivalité entre deux gangs de jeunes New-Yorkais, les Sharks (Portoricains) et les Jets (Irlandais, Polonais, Italiens). Dans les années 50, les comptes se réglaient à coups de couteau. Jugés alors inassimilables, les Portoricains prennent aujourd'hui leur revanche. Ce 10 juin, la 5e Avenue leur appartient. Des couples dansent la salsa sur les chars de carnaval, drapeau rouge, blanc et bleu à la main. En tête de cortège, Felix, originaire du Bronx, brandit fièrement le portrait de Sonia Sotomayor, première Latino à être nommée présidente de la Cour suprême en 2009. «On aurait voulu qu'elle soit à nos côtés! s'exclame-t-il. Je suis très fier d'elle, d'autant qu'elle a grandi dans mon quartier.»
Si les parades sont une occasion d'afficher sa réussite avec ostentation, elles sont également le reflet des tensions que traverse la société américaine. Après le 11 septembre 2001, les musulmans ont défilé sur la pointe des pieds. «Pendant longtemps, les musulmans américains n'ont pas osé prendre la parole. Ceux qui ne connaissaient pas l'islam en ont profité pour les stigmatiser. La Muslim Day Parade leur permet de se rassurer», analyse Akbar Ahmed, professeur à l'université américaine de Washington. Le sentiment de malaise qui habite la communauté musulmane reste vif. Au plus fort de la polémique sur la construction d'un centre culturel musulman près de Ground Zero (été 2010), les imams afro-américains, pakistanais, syriens et sénégalais défilaient côte à côte pour rappeler que l'islam n'est pas une religion monolithique violente. Un symbole invisible pour les protestataires scandant des slogans islamophobes, Constitution américaine en main.
Une ambiance électrique que l'on retrouve le jour de la parade d'Israël. Lancée en 1964, cette célébration, qui se tient le long de Central Park, est la plus grande manifestation de soutien à Israël dans le monde. Ce 3 juin, l'étoile de David bleue flotte dans le même sens que la bannière étoilée. Baruch, informaticien originaire de Brooklyn, se montre très cynique à l'égard du président Obama: «On ne peut pas lui faire confiance. Bien sûr, il se rendra cet été à Jérusalem pour rassurer l'électorat juif. Mais tout le monde sait qu'il a renoncé à la sécurité d'Israël. Il est trop naïf face à l'Iran. Il faut élire Romney, en novembre.»
En marge de la parade, les voix discordantes n'hésitent pas à se faire entendre. La parade fait office de caisse de résonance du conflit israélo-palestinien. Les juifs orthodoxes de Neturei Karta Hasidic défilent, chaque année, drapeau palestinien à la main. Beaucoup de New-Yorkais ne se retrouvent pas dans ces grands-messes nationalistes et religieuses. Symbole de la diversité, New York a vu naître, ces dernières années, des dizaines de parades culturelles aussi surprenantes qu'improbables. Parade de la danse, parade d'Halloween, parade des chiens, parade des idiots, parade de Thanksgiving... Avec un étonnant esprit de tolérance, New York s'est adapté à la multiplication des identités ethniques, religieuses et culturelles.

Cette profusion de parades ne fait pas l'affaire des autorités

La parade des Sirènes, qui a lieu en juin, à Coney Island, au sud de Brooklyn, est très en vogue. Ici, on n'a pas peur du ridicule. Charlotte, jeune danseuse du ventre professionnelle, s'est parée d'une tenue pour le moins osée. Parasol rose à la main pour se protéger du soleil de plomb, elle porte une longue perruque violette ondulée, surmontée d'une couronne d'étoiles de mer, et une combinaison en écailles turquoise. «J'adore cette parade! Tout le monde rivalise de créativité», se réjouit-elle. De Surf Avenue à la plage, on trouve les costumes les plus délirants. Entre le pirate, l'hippocampe, la pieuvre et le hot-dog, il y en a pour tous les goûts. «La tradition veut que l'on pince celui qui ne s'est pas déguisé», prévient Dan, qui a enfilé des pinces de crabe sur ses avant-bras.

Toutefois, la tolérance n'a pas toujours été de mise à New York. La première Gay Pride est née en 1969 dans le sillage d'une série d'émeutes lancées par les homosexuels, au lendemain d'un raid de la police contre le Stonewall Inn, bar gay emblématique de Greenwich Village. Reprise dans le monde entier, cette parade flamboyante et excentrique a longtemps été le point d'orgue du mouvement des droits civiques pour les homosexuels. Rebaptisée LGBT Pride (lesbienne, gay, bisexuel, transsexuel), elle n'attire plus autant les foules. «Les homosexuels recueillent les fruits de quarante ans de lutte. Le président Obama s'est déclaré en faveur du mariage homosexuel, déjà légalisé dans huit États dont New York. Forcément, on a moins besoin d'afficher sa fierté», observe John, ancien journaliste à la retraite.
Si cette profusion de parades fait la joie des New-Yorkais, ce n'est pas forcément le cas des autorités publiques. La mobilisation systématique des forces de police et des services de nettoyage ainsi que l'arrêt de la circulation sont très coûteux. Le 1er avril 2010, le Département de police annonçait sans rire des mesures draconiennes. Dorénavant, la distance des parades serait réduite de 25 % et leur durée ne devrait pas dépasser cinq heures. Afin d'aider la ville à réaliser 3,1 millions de dollars d'économies (2,5 millions d'euros), tous ont joué le jeu. Le maire, Michael Bloomberg, s'est empressé de cajoler les participants. Il est vrai que les parades sont une arme politique redoutable pour soigner sa cote de popularité. Celui-ci le sait mieux que quiconque. En février, il était là pour remettre les clés de la ville au capitaine des New York Giants, à l'occasion d'une parade organisée pour fêter la victoire de l'équipe en finale du championnat de football américain (Super Bowl). Le maire, dont on dit sur le ton de la plaisanterie qu'il passe tous ses week-ends aux Bermudes, sera aussi attendu en septembre à Brooklyn au carnaval des Caraïbes. Les couleurs de la Jamaïque seront présentes au côté de celles de Guyana, Haïti, Barbade et Trinidad et Tobago. Sur les chars de carnaval, tous danseront au rythme du reggae, du calypso et de la soca.
source : Le figaro

Tunisie: l'élu maintient sa plainte

Jamel Gharbi, l'élu sarthois qui a porté plainte après avoir été agressé mi-août par des salafistes en Tunisie, a reçu des excuses du ministère des Affaires étrangères tunisien mais maintient "plus que jamais" sa plainte pour que ses agresseurs "soient punis", a-t-il dit samedi à l'AFP.  "Ma demande depuis le premier jour c'est que les salafistes qui ont commis ces actes soient punis. Ma plainte je la maintiens plus que jamais", a-t-il dit.

Le
conseiller régional socialiste des Pays de la Loire, âgé de 62 ans, a porté plainte après avoir été roué de coups le 16 août à Bizerte, ville dont il est originaire, par des militants islamistes alors qu'il se promenait en compagnie de sa femme et de sa fille de 12 ans. "Nous avons croisé un groupe d'une cinquantaine de salafistes qui les ont agressées verbalement en raison de leurs vêtements d'été", avait-il déclaré. Resté seul face aux agresseurs, il a expliqué avoir été frappé "à coups de matraques et de gourdins" avant de parvenir à s'enfuir.

Le ministère tunisien des Affaires étrangères a présenté samedi ses excuses à l'élu, assurant que la Tunisie,
face aux salafistes, était déterminée "à traiter ce fléau à travers les voies juridiques et à l'éradiquer de la société tunisienne connue pour son attachement à la tolérance". "Moi je demande qu'il y ait réparation, il faut que ces gens soient châtiés, que le gouvernement tunisien condamne les salafistes", a-t-il affirmé.

Le ministère de l'Intérieur tunisien a expliqué que le jour des faits la soirée de clôture du festival de Bizerte avait été ciblée par "200 personnes affiliées au courant salafiste" et armées, selon des témoins, de sabres et de bâtons. Cinq autres blessés ont été recensés.

source : Le Figaro 

dimanche 26 août 2012

Samsung reconnu coupable de violation de brevets d’Apple

Le groupe sud-coréen devra verser à son concurrent américain un peu plus d’un milliard de dollars de dommages, selon une décision rendue par un tribunal de Californie. Samsung va déposer un recours.
Apple vient de remporter une nette victoire contre Samsung dans la guerre des brevets. Après trois semaines d’audiences, des dizaines de témoignages et l’examen de 700 plaintes des deux géants informatiques, le tribunal de San Jose en Californie a rendu vendredi son verdict: le groupe sud-coréen devra verser à son concurrent américain 1,05 milliard de dollars (environ 840 millions d’euros) de dommages pour violation de brevets d’iPad et d’iPhones. Soit l’équivalent d’un mois de bénéfice pour Samsung qui a enregistré en avril dernier un profit record de plus de quatre milliards de dollars sur le premier trimestre. «Un montant monstrueux et sans précédent», selon Brian Love, professeur de droit à l’université de Santa Clara, même si on est loin des 2,5 milliards que réclamait Apple.

La Galaxy Tab 10.1 épargnée

L’infraction portait sur 24 mobiles et tablettes Samsung. Vingt-trois ont été jugés non conformes. Parmi eux, certains smartphones de la Galaxy S ou encore la Galaxy Tab. En revanche, la justice n’a pas jugé que la Galaxy Tab 10.1 a enfreint le design de l’iPad. «Nous applaudissons la cour pour avoir mis à jour le comportement litigieux de Samsung et pour avoir envoyé un message clair et sonore sur le fait que voler n’est pas un droit», a réagi la responsable de la communication, Katie Cotton, à l’issue de l’énoncé du verdict.
Cette victoire de la firme américaine contre son homologue sud-coréenne pourrait entraîner une interdiction des ventes de certains produits de Samsung aux États-Unis et, par conséquent, consolider la domination d’Apple sur le marché des téléphones portables et des tablettes. Le géant américain a annoncé qu’il allait déposer d’ici sept jours une demande pour obtenir une telle interdiction. Samsung a 14 jours pour y répondre, avant de se retrovuer tous les deux au tribunal le 20 septembre. «Dans ce type d’affaires dans le passé, généralement le perdant peut continuer à vendre ses appareils, mais doit payer des royalties au gagnant», explique Jeff Kagan, analyste spécialisé dans les technologies.

«Les consommateurs sont les perdants du procès», selon Samsung

Le procès,le plus grand de ce type depuis des années aux États-Unis, était particulièrement suivi étant donné ses conséquences potentielles pour le marché américain des tablettes informatiques et des smartphones. Les ventes des smartphones de Samsung y ont quasiment doublé en un an, avec 21,2 millions de terminaux vendus, pour 7,5 milliards de dollars de chiffre d’affaires, au cours du seul premier semestre 2012. Dans le même temps, Apple a écoulé 19 millions d’iPhone, pour 11,8 milliards de dollars de chiffre d’affaires. Un iPhone sur trois vendus dans le monde l’a été aux États-Unis. Samsung est numéro un mondial des téléphones portables (50,2 millions de téléphones vendus au deuxième trimestre) devant Apple (26 millions d’iPhones vendus) mais est derrière l’Américain sur le marché des tablettes (2,4 millions d’unités vendues contre 17 millions d’iPad pour Apple).
La victoire d’Apple est d’autant plus importante que Samsung a vu rejetées ses propres accusations envers son concurrent. Le groupe sud-coréen estimait en effet que la marque à la pomme avait aussi violé plusieurs de ses brevets, en particulier dans les technologies d’internet sans fil, mais les jurés ne l’ont pas suivi. «Les consommateurs sont les perdants du procès, a déploré Samsung dans un communiqué. Le jugement de vendredi va conduire à moins de choix, moins d’innovation, et potentiellement des prix plus élevés». Le groupe sud-coréen regrette «que la législation sur les brevets soit manipulée pour donner à un groupe un monopole sur les rectangles avec des coins arrondis» et a immédiatement répondu qu’il allait déposer un recours pour obtenir le renversement de la décision du tribunal américain.
source : Le Figaro

Un Français gagne 47 millions d'euros

Un joueur français a remporté vendredi soir lors du tirage d'Euro Millions la très belle somme de 47.570.390 euros, selon les résultats publiés par la Française des Jeux (FDJ), un montant qui se situe au neuvième rang des plus gros gains en France.

Ce joueur a été le seul à cocher les sept bons numéros nécessaires pour décrocher la cagnotte mise en jeu. Il dispose de 60 jours pour se faire connaître et toucher son chèque.


La FDJ devrait communiquer lundi le nom du département où a été validé le bulletin gagnant. Chaque joueur de l'Euro Millions dispose d'une chance sur 116.531.800 de cocher les sept bons numéros.


190 millions d'euros : record absolu


Le record des gains au jeu est détenu depuis le 10 août par
un couple du Suffolk, un comté de l'est de l'Angleterre, qui a remporté la somme fabuleuse de 190 millions d'euros.

En France, le record des gains revient à une famille - toujours restée anonyme - du Calvados (Normandie, ouest) avec 162.256.622 euros au tirage du 13 septembre 2011.


Voici la liste des dix plus gros gains en France :


- 162.256.622 euros, le 13 septembre 2011 dans le Calvados

- 100.000.000 euros, le 18 septembre 2009 à Venelles (Bouches-du-Rhône)
- 75.888.514 euros, le 16 septembre 2005, à Franconville (Val-d'Oise)
- 61.191.026 euros, le 3 février 2006, à Paris et à Evian (deux gains)
- 59.459.744 euros, le 18 décembre 2009 à Valdahon (Doubs)
- 58.367.681 euros, le 18 avril 2008, à Eloyes (Vosges)
- 57.414.511 euros, le 5 août 2006 à Port-de-Bouc (Bouches-du-Rhône)
- 50 millions d'euros, le 6 mars 2009 à Saint-Michel (Charente)
- 47.570.390 euros, le 24 août 2012
- 42.218.533 euros, le 16 juillet 2010 au Lude (Sarthe)

source : Le figaro

Les sponsors d'Armstrong pourraient exiger réparation

Si la perte des 7 titres du Tour de France et les soupçons de dopage sont confirmés, l'ex-coureur cycliste pourrait rendre ses revenus publicitaires, voire dédommager ses sponsors. Les gains sportifs sont aussi concernés.

Un scénario catastrophe. Pour Lance Armstrong et pour le cyclisme. Voilà comment le monde du vélo analyse la décision de l'Américain de renoncer à se défendre contre les accusations de dopage portées par l'Usada, l'agence américaine de lutte antidopage, et contre la destitution de ses sept titres consécutifs du Tour de France, conquis entre 1999 et 2005. Une décision ensuite confirmée par l'Agence mondiale antidopage (AMA), même si l'Union cycliste internationale (UCI), qui normalement a autorité en la matière, ne rendra pas son avis avant que l'Usada n'ait motivé sa décision.
Primes, contrats de sponsoring, dommages et intérêts pour atteinte à l'image… L'affaire pourrait coûter très cher à la star déchue, qui a engrangé des millions durant sa carrière. Selon la radio américaine Fox Sports, ses revenus atteignaient en 2010 (dernière année avant sa retraite cycliste) 20 millions de dollars, au titre de son salaire avec l'équipe américaine RadioShack, mais surtout de ses multiples contrats de sponsoring (Coca-Cola, Nike, Subaru, Trek, Oakley, Anheuser-Busch…). Ceux-ci lui versaient à l'époque 16,5 millions de dollars. Durant sa carrière, il aurait amassé, selon le Sunday Times, 100 millions d'euros grâce au cyclisme.

Clauses de résiliation

«Dans le sport d'aujourd'hui, les contrats types de sponsoring prévoient tous des clauses de résiliation si l'athlète est convaincu de dopage pendant la durée de son contrat, analyse ainsi Didier Poulmaire, avocat associé au cabinet 3A, spécialisé dans le droit du sport. Ces clauses permettent en général la suspension, voire l'arrêt définitif de tout paiement, si l'athlète est convaincu de dopage à l'issue de cette procédure. La hantise d'un sponsor, c'est le dopage de l'athlète sous contrat, car cela peut ruiner tous ses efforts de communication, voire même lui porter préjudice en termes d'image.» Aujourd'hui, la plupart des sponsors d'Armstrong sont pourtant toujours à ses côtés, via sa fondation de lutte contre le cancer, Livestrong, et au titre de ses participations à des triathlons professionnels.
Depuis le lancement de la procédure officielle de l'Usada, en juin 2012, la majorité de ses partenaires ont d'ailleurs exprimé publiquement un soutien marqué à l'athlète. Pour l'économiste américain John Tournour, tant que l'ex-champion n'est pas formellement condamné pour usages de produits dopants, il n'a pas de souci à se faire du côté de ses sponsors. Au-delà de ces tricheries soupçonnées, son image de sportif de haut niveau ayant vaincu la maladie continue de véhiculer outre-Atlantique des valeurs positives. Cette configuration pourrait toutefois changer si la culpabilité d'Armstrong, qui a fermement nié toute tricherie, venait dans les prochaines semaines à être confirmée.

Aveu caché de culpabilité

Pour l'instant, aucun des contrôles du champion n'est revenu positif. Mais l'étau se resserre, l'Usada affirmant disposer de réelles preuves. Pour le grand public, ce renoncement du cycliste résonne aussi comme un aveu de culpabilité. «La question, c'est de savoir comment traiter ce cas de figure atypique où un athlète semble être convaincu de dopage plusieurs années après l'obtention de ses titres, et alors même que les paiements ont été effectués», analyse Didier Poulmaire, qui souligne le manque de jurisprudence en la matière. Si ses titres lui étaient officiellement retirés mais que le dopage ne pouvait être prouvé, «on ne peut pas exclure que ses anciens sponsors lui réclament au moins la partie variable des contrats correspondant au bonus de ses victoires», conclut-il. Un constat que partage Fabrice Lorvo du cabinet FTPA, même s'il estime qu'au-delà de ces primes un sponsor aurait plus à perdre qu'à gagner, en matière d'image, à se lancer dans une bataille juridique pour récupérer des sommes déjà versées.
En attendant, un dernier risque financier pèse au-dessus du coureur: celui de devoir rembourser les organisateurs pour les victoires «volées». Depuis 2007, le vainqueur du Tour de France remporte 450.000 euros par victoire, auxquels s'ajoutent des primes de victoire par étapes (8000 euros), de sprint intermédiaire (800 euros) ou encore de porteur du maillot jaune (350 euros par jour). Les sommes étaient un peu inférieures à l'époque des succès de l'Américain, mais le total pourrait représenter plus de 3 millions d'euros, versés par la Fédération française de cyclisme (FFC). Contactés, ni celle-ci, ni ASO, l'organisateur du Tour de France, ne souhaitaient dire s'ils demanderaient réparation. Ni si Floyd Landis, dernier «destitué» du Tour de France en 2010, avait dû rembourser ses gains.
source : Le Figaro

Football, Ligue 1 Bastos : «S’il faut que je reste, ok»

Comme la semaine précédente face à Troyes, Michel Bastos a sauvé l’Olympique Lyonnais d’un coup-franc fracassant vendredi soir à Evian (1-1). En instance de départ, le Brésilien multiplie les exploits.
Michel, qu’est-ce que cela vous fait de jouer les jokers de luxe ?
Michel Bastos : Il faut être professionnel et présent à n’importe quel moment du match. Aujourd’hui, le coach fait ses choix. Moi, je reste sur le côté. Je me suis mis dans la tête de prendre ce qu’on me donne. 10 minutes, 20 minutes… J’essaie de bien travailler pour montrer au coach que je suis prêt à aider l’équipe et de me donner à 100%.
Vous ne vous prenez pas la tête avec votre situation ?
Honnêtement, ce n’est pas évident ! J’essaie de mettre de côté tous mes soucis quand je rentre sur le terrain. J’avoue que ça me travaille et que ma famille est aussi dans l’attente. Il faut savoir faire abstraction. Aujourd’hui, je suis encore lyonnais. Je ne suis pas encore parti… Peut-être que ce sera le cas demain, dans un an ou d’ici deux ans.
Cela ne vous donne pas envie de continuer ?
Moi, je n’ai jamais caché vouloir une décision rapide. S’il faut que je reste, ok. S’il faut que je parte, j’aimerais que ça se fasse le plus rapidement possible. La situation n’est pas évidente à vivre. Je n’ai jamais caché que la possibilité de rester à Lyon ne m’embêtait pas du tout. Après, comme vous le savez, il y a une proposition d’Al-Aïn qui me plaisait. J’avais dit oui. Maintenant les choses ont trainé. On ne sait pas où ils sont. On n’a plus de nouvelles. J’essaie de me concentrer sur mon début de saison avec le club auquel j’appartiens.
Mais quel est votre volonté réelle ?
Que ça se décide vite ! Si je n’avais plus envie de porter ce maillot, je l’aurais dit. Là, ce n’est vraiment pas le cas ! Je suis dans un grand club. Un club qui m’a permis d’accéder au haut niveau et à la sélection. Je ne peux pas leur tourner le dos comme ça.
source : sport24

Tueries en Norvège : Breivik à la barre

21 ans de prison, la peine maximale
C'était paradoxalement ce qu'il souhaitait : être condamné à la prison et non à l'internement psychiatrique. C'est donc sourire aux lèvres qu'Anders Behring Breivik a écouté la juge prononcer à son encontre la peine maximale en Norvège, c'est à dire 21 ans de prison.
Mais tant que le tueur d'Oslo et d'Utoya sera considéré comme dangereux, la justice pourra prolonger sa peine.
Le tribunal d'Oslo, qui a jugé Breivik responsable de ses actes à l'unanimité, a également assorti sa condamnation d'un minimum de 10 ans, c'est à dire qu'il ne pourra formuler de demande de libération conditionnelle pendant cette durée.
Vêtu d'un costume noir, d'une cravate à pois grise foncée et d'une chemise blanche, Breivik a fait son traditionnel salut d'extrême droite en arrivant au tribunal.
source : msn

Les Expendables font la loi au box office
















Sylvester Stallone, Arnold Schwarzenegger et Bruce Willis dans Expendables 2 de Simon West / Crédits : Metropolitan Filmexport


"Expendables 2 : unité spéciale" ne fait pas dans la dentelle au box office et s'octroie le neuvième démarrage de l'année pour sa première journée dans les salles françaises.
Ca montre ses muscles, ça castagne, ça flingue à tout va ! Et en plus de ça, ça impose sa loi au box office ! La bande à Sylvester Stallone a fortement impressionné ses concurrents mercredi au classement des entrées. En une journée, "Expendables 2 : unité spéciale" a attiré, selon CBO-Box office, 213.099 personnes dans 535 salles à travers tout le pays, soit le neuvième démarrage de l'année.

Non content d'intégrer le Top 10 des meilleurs lancements Premier jour, le film réalisé par Simon West fait largement mieux que le premier volet que Sylvester Stallone s'était chargé de réaliser. En août 2010, il y a donc tout juste deux ans, "Expendables : unité spéciale" affichait 168.327 entrées. En fin de carrière, le film d'action qui marquait la réunion des gros bras d'Hollywood, dont une belle brochette de vétérans, était parvenu à cumuler 1.651.849 spectateurs. Le dernier né semble bien parti pour faire mieux.
Derrière, les résultats de "Associés contre le crime" paraissent nettement moins impressionnants. Le nouveau long métrage de Pascal Thomas, mettant en scène les personnages d'Agatha Christie interprétés depuis maintenant trois films par Catherine Frot et André Dussolier, attire 36.204 spectateurs dans 322 salles. C'est légèrement en retrait des scores obtenus par "Mon petit doigt m'a dit" (45.609 entrées en avril 2005) et "Le Crime est notre affaire" (41.206 entrées en octobre 2008).
Deux films parviennent à attirer plus de 20.000 spectateurs : "Du vent dans mes mollets" de Carine Tardieu avec Agnès Jaoui et Isabelle Carré séduit 24.025 personnes dans 260 salles et le film d'animation "L'Etrange Pouvoir de Norman" n'impressionne guère avec 20.900 entrées dans 305 salles. "A perdre la raison" avec Tahar Rahim et Emilie Dequenne est très loin avec 6.627 spectateurs (90 copies), tout comme "Broken" avec Tim Roth et ses 4.242 entrées (70 copies). Dans seulement 7 salles, "Keep the Lights On" parvient à attirer pas moins de 1.084 spectateurs.
source : LCI

Mort de Jean-Luc Delarue : l'hommage des people

La mort de Jean-Luc Delarue, dans la nuit de jeudi à vendredi à l'âge de 48 ans, a créé un vif émoi. Ses confrères de la télé et de la radio ont tenu à le saluer.
Les réactions se multiplient depuis l'annonce, ce vendredi, du décès de Jean-Luc Delarue. Dans un communiqué, France Télévisions a tenu à saluer un homme à l'esprit inventif. "France Télévisions a appris avec une immense émotion et une profonde tristesse la disparition prématurée de Jean-Luc Delarue, animateur et producteur de talent de la télévision publique". Jamais à court d'idées, l'animateur-producteur a passé toute sa carrière à plancher sur de nouveaux concepts. "Cette personnalité aimée des Français a contribué au renouvellement de  l'offre de magazines de la télévision publique qui lui doit de nombreuses émissions à succès comme Ça se discute, C'est mon choix ou encore Toute une histoire...", poursuit le groupe. 
 
"Il s'est battu jusqu'au bout comme le sportif qu'il était", a confié le directeur général de France 2, à l'AFP. Jean Reveillon a montré son respect à "celui qui avait su créer un genre nouveau, les émissions qui permettaient aux gens de se raconter". "C'était un passeur d'émotions", a-t-il ajouté.
 
Christophe Dechavanne s'est dit extrêmement touché. "Je connais Jean-Luc depuis fort longtemps (...) je trouve que cette maladie est d'une grande injustice", a-t-il affirmé
source : LCI

La mort de Neil Armstrong, héros de la conquête spatiale, suscite de vibrants hommages

AFP/Archives


Le premier homme à avoir posé le pied sur la Lune, l'astronaute de légende Neil Armstrong, est mort à l'âge de 82 ans, suscitant de vibrants hommages sur ses exploits et son caractère particulièrement humble.


Armstrong, qui a donné l'envie à toute une génération de conquérir les étoiles, est mort à 82 ans de complications liées à une opération cardiovasculaire survenue plus tôt dans le mois, a annoncé sa famille samedi.
Parlant d'Armstrong comme d'un "héros américain contre son gré", ses proches ont exprimé leur espoir que son héritage encourage les jeunes gens à "travailler dur pour que leurs rêves deviennent réalité, (...) repousser les limites et servir avec abnégation une cause plus grande que la leur".
John Glenn, 81 ans, qui a effectué le premier vol orbital américain, a salué l'"audace" d'Armstrong et rendu hommage à son humilité légendaire.
"Il n'avait pas l'impression de devoir se vendre comme une marchandise", a déclaré l'ex-sénateur de l'Ohio à la chaîne de télévision CNN. "C'était une personne humble et il l'est resté après son vol lunaire, comme avant".
Ce pionnier lunaire, décoré de nombreuses fois par les Etats-Unis, mais aussi 17 autres pays, n'avait jamais été à l'aise avec cette renommée mondiale, fuyant les feux des projecteurs. Armstrong avait même cessé de signer des autographes après avoir appris que ceux-ci se revendaient à des prix exorbitants.
Le président des Etats-Unis Barack Obama, se disant "profondément attristé", a salué la mémoire de l'astronaute : "Neil était parmi les plus grands héros américains, pas seulement de l'époque actuelle, mais de tous les temps".
Son rival républicain à l'élection présidentielle américaine Mitt Romney a affirmé que "la Lune pleurait son premier fils terrien".
Embarqués à bord de la navette Apollo 11, Neil Armstrong et son co-équipier Buzz Aldrin avaient marché sur la Lune le 20 juillet 1969 (02H56 en heure GMT le 21 juillet), sous le regard admiratif de 500 millions de téléspectateurs. Le troisième membre de l'équipage, Michael Collins, était demeuré dans le module de commande resté en orbite autour de la Lune.
"Nous nous sommes entraînés ensemble et nous étions aussi de bons amis, nous serons toujours liés par notre participation à la mission Apollo 11", a réagi Buzz Aldrin, 82 ans, affirmant que Neil allait "manquer". Neil Armstrong "était le meilleur et il va terriblement me manquer", a ajouté Michael Collins, 81 ans.
"Il n'y avait pas de poussière"
Neil Armstrong avait été chargé de commander la première mission lunaire américaine à bord de la capsule Apollo 11. Il s'était posé sur la Lune à bord du module Eagle en juillet 1969, et avait assuré sa place dans l'Histoire en déclarant, alors qu'il foulait le sol lunaire : "C'est un petit pas pour l'homme, mais un bond de géant de l'humanité".
Cet homme modeste était instantanément devenu une icône de l'odyssée de l'espace.
Il avait ensuite peu parlé en public, fuyant micros et caméras, et vivait depuis des dizaines d'années dans une ferme reculée de l'Ohio (nord). L'astronaute était né le 5 août 1930 à Wapakoneta, dans ce même Etat.
Le jeune Armstrong est fasciné dès son enfance par les avions. Il prend des cours de pilotage à 15 ans et obtient son brevet de pilote un an après. Plus tard, il devient pilote de l'aéronavale et effectue 78 missions pendant la guerre de Corée (1950-53).
Armstrong étudie aussi l'ingéniérie aéronautique à l'université de Purdue (Indiana, nord) et obtient une maîtrise dans cette même discipline à l'université de Californie du Sud.
En 1955, il devient pilote d'essai et vole sur 50 différents types d'avion. Sept ans après, il est sélectionné par la Nasa, l'agence spatiale américaine, pour devenir astronaute.
En septembre 1966, il effectue un vol avec David Scott pour la mission Gemini 8. Le vaisseau s'amarre à un autre véhicule non habité, réalisant le premier amarrage orbital de deux modules spatiaux.
Puis, ce sera la mission Apollo 11 et l'entrée de Neil Armstrong dans l'Histoire.
Il y a quelques années, il était revenu sur ses pas légendaires : "il n'y avait pas de poussière quand on donnait un coup de pied".
En 2009, Neil Armstrong, Buzz Aldrin et Michael Collins avaient saisi l'occasion d'une de leurs rares apparitions communes en public au Musée de l'Air et de l'Espace à Washington, pour plaider en faveur de futures missions sur Mars, la planète rouge.
source :msn

mardi 21 août 2012

Une canicule trop longue fait peser un risque sur l'économie

Le beau temps est souvent synonyme de bonnes affaires pour les commerçants. Mais un épisode de chaleur trop forte, ou trop long, produit l'effet inverse. La canicule de 2003 a coûté au moins 15 milliards d'euros.

En France, plus des deux tiers de l'économie (70%) sont considérés comme météo-sensibles, selon les chiffres de Climpact, qui étudie et prévoit l'impact de la météo sur le comportement d'achat des consommateurs.
Mais une chaleur étouffante, comme celle qui traverse actuellement l'Hexagone, n'est pas forcément synonyme de soutien à l'économie. Au contraire. L'épisode caniculaire que nous connaissons n'a pas l'envergure de celui de 2003 (plus de 10 jours), mais il rappelle les effets néfastes que peuvent avoir de fortes chaleurs sur l'économie française.

Hausse de la consommation d'électricité pour les climatiseurs.

Un rapport du Sénat de 2004 sur «La France et les Français face à la canicule de 2003» est de ce point de vue assez éloquent. Les sages ont ainsi chiffré de 15 à 30 milliards d'euros l'impact négatif de l'épisode sur la croissance française (0,1 à 0,2 % du PIB). Parmi les causes principales, outre les effets de la sécheresse, une hausse des prix de l'électricité, après une progression de la consommation (5 à 10 %) pendant l'été 2003 (réfrigérateurs, congélateurs climatiseurs, ventilateurs….). Des dépenses qui réduisent d'autant la part du budget des Français affecté à d'autres achats.
Une trop grosse chaleur provoque ainsi les effets inverses à ceux attendus d'une période de beau temps classique, allant jusqu'à détourner les Français des magasins. En août 2003, les achats de vêtements avaient ainsi régressé de 8,3% sur un mois, et la consommation de viande de 8% entre mi-juin et début septembre, par rapport à la même période en 2002. Des conditions météorologiques normales sont donc meilleures pour l'économie.

Finir dignement la saison touristique

Ce retour à la normal, attendu pour mercredi prochain, confirmera que la canicule actuelle, de moindre ampleur que la précédente, aura par conséquent des effets néfastes plus limités. Toutefois, les espoirs des commerçants de finir dignement leur saison se concrétisent. D'autant qu'il reste encore quinze jours avant le début de la rentrée scolaire, un timing favorable aux séjours de dernière minute, comme ce fut le cas cette semaine. Affectés par une baisse de 20 % de leur activité en juillet, les commerçants de la plupart des stations balnéaires du littoral français ont vu affluer ce week-end les touristes, à la recherche d'un peu de fraîcheur et d'air pour éviter la surchauffe des villes. Ce fut le cas ce week-end à Cabourg, où sur la côte dunkerquoise, où tous les hôtels affichaient complets samedi soir, contrairement au reste de la saison.
Même constat chez certains industriels, où les grosses chaleurs sont favorables à certains produits de grande consommation: eau en bouteille, crèmes solaires, sodas, bières, glaces… même si les glaciers rivalisent d'imagination pour séduire les consommateurs toute l'année. De quoi compenser les effets de la météo capricieuse du début de l'été. Entre mars et mai, les ventes de produits solaires avaient chuté de 37%, et celles des glaces de 20% sur un an, a estimé l'agence de météo-sensibilité Metnext. À noter toutefois qu'au-delà d'un certain seuil, estimé à 33°C, l'eau emporte la préférence des consommateurs sur toute autre boisson.
À l'inverse, cet épisode de chaleur ne devrait pas suffire à compenser partout le manque à gagner lié au mauvais temps d'avril à juillet. C'est le cas chez le spécialiste du camping-car Trigano, qui avait expliqué fin juin la dégradation de ses ventes au troisième trimestre (-10,8 %) par des «conditions météorologiques particulièrement défavorables aux achats d'équipements de plein air».
source : Le figaro

Chine : peine de mort avec sursis pour Gu Kailai

L'épouse de Bo Xilai, ancienne étoile montante du Parti communiste, a été condamnée pour l'assassinat du Britannique Neil Heywood, un crime à la source d'un scandale qui a fortement ébranlé le parti unique au pouvoir.

Le rideau s'apprête à retomber sur le scandale Bo Xilai. Le tribunal de Hefei, dans l'est du pays, chargé de juger le meurtre de Neil Heywood, a condamné à mort Gu Kailai, avec une peine suspensive. L'épouse du maire déchu de Chongqing devrait voir sa sentence commuée en prison à vie. L'homme de main de la famille qui comparaissait à ses côtés, Zhang Xiaojun, écope, lui, de neuf ans de prison. «Nous respectons la décision de la Cour», a confié, après avoir annoncé le verdict, He Zengsheng, l'avocat de la famille de l'homme d'affaires britannique décédé, sur les marches du palais de justice de la capitale provinciale de l'Anhui, à l'ouest de Shanghaï.
Les deux accusés risquaient la peine de mort, mais les différentes déclarations des magistrats et de la presse officielle avaient laissé entendre que les autorités éviteraient une exécution, pour ne pas enflammer les esprits, prompts à critiquer une décision surtout politique. Gu Kailai ne finira peut-être pas son existence derrière les barreaux mais devrait passer au moins quinze ans à l'ombre d'une cellule pour le meurtre de Neil Heywood.
Par ailleurs, quatre responsables policiers chinois ont été condamnés à des peines de cinq à onze ans de prison pour avoir sabordé l'enquête sur l'assassinat de Heywood afin de tenter d'épargner Gu Kailai. Ces hauts gradés ont sciemment travesti leurs investigations et réalisé des faux, afin d'accréditer la thèse d'une mort accidentelle, selon un porte-parole du tribunal.

Bo Xilai attend d'être jugé par son parti

L'homme d'affaires britannique avait été retrouvé mort dans sa chambre d'hôtel de Chongqing, en plein cœur du fief de Bo Xilai, en novembre dernier. Au cours de son procès éclair du 9 août, Gu Kailai avait reconnu avoir empoisonné l'ancien ami de la famille, alors qu'un différend d'affaires les opposait. Elle aurait craint pour la vie de son fils, Bo Guagua, étudiant à l'étranger, et aurait décidé d'en terminer avec celle du Britannique en l'empoisonnant au cyanure.
C'est du moins la version officielle. On n'en saura probablement jamais davantage. Car cette affaire n'est pas un simple règlement de comptes entre associés fâchés mais bien la fin d'un des plus grands scandales politiques de la Chine moderne. La justice chinoise, dont les juges sont nommés par le Parti, a rendu un verdict avant tout dicté par le pouvoir politique, décidé à régler cette affaire au plus vite, pour sceller dans le même temps le sort de Bo Xilai, ancienne star montante du Parti aux ambitions nationales, suspendu en avril du Bureau politique.
La fuite du chef de la police de Chongqing, Wang Lijun, réfugié au consulat des États-Unis en février dernier, avait provoqué la disgrâce de Bo, dont la campagne rouge menée dans sa ville et l'exposition médiatique avaient fini par agacer un nombre croissant de ses pairs. Aujourd'hui, l'ancien responsable attend d'être jugé par la Commission disciplinaire du Parti, une procédure interne qui, au contraire du médiatique procès de son épouse, devrait se tenir dans la plus grande discrétion.
source :Le Figaro

lundi 20 août 2012

A Gagner Un voyage à New York pour 2 adultes et 2 enfants (8000 euros), 1 voyage en Écosse pour 2 adultes et 2 enfants (8000 euros)

28/09/2012 - 161647 - Kiabi - France DOM Espagne - pas de limite d'âge - Direct
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Recette Tajine d'agneau aux pommes de terre

Pour  6 Personne(s)


Ingrédients
pour Tajine d'agneau aux pommes de terre

  • 1.2 kg d'épaule d'agneau désossée
  • 150 g d'olives noires et violettes mélangées
  • 2 poivrons rouges
  • 8 pommes de terre
  • 2 oignons
  • 1 c. à soupe de cumin en poudre
  • 1 c. à soupe de curcuma en poudre
  • 0.5 c. à café de cannelle en poudre
  • 6 c. à soupe d'huile
  • sel, poivre

Accord vin
pour Tajine d'agneau aux pommes de terre

un guerrouane (Gris, Maroc)

Préparation
pour Tajine d'agneau aux pommes de terre

Coupez la viande en morceaux.
Pelez et émincez les oignons.
Lavez les poivrons, coupez-les en 2, retirez les pépins et les pédoncules puis émincez-les.
Pelez les pommes de terre, lavez-les et coupez-les en gros morceaux.
Faites chauffer l'huile dans un plat à tajine ou une cocotte.
Faites-y dorer la viande sur toutes ses faces.
Retirez-la du tajine et remplacez-la par les oignons, les poivrons.
Faites-les revenir 3 min en remuant. Remettez la viande.
Ajoutez les olives et toutes les épices. Salez et poivrez. Mélangez bien.
Versez un verre d'eau, couvrez et faites cuire à feu très doux pendant 1 h 45.
Ajoutez les pommes de terre 10 à 15 min avant la fin de la cuisson.
Servez très chaud.
source :cuisineaz

Tony Scott, réalisateur de Top Gun, s'est suicidé
















Tony Scott / Crédits : AFP
 
Son corps a été retrouvé à San Pedro, en Californie. Une note écrite de sa main faisant état de son intention suicidaire a été retrouvée, selon le Los Angeles Times.
Le réalisateur américain Tony Scott, metteur en scène de Top Gun, s'est suicidé en sautant d'un pont dans le sud de Los Angeles, en Californie. Son corps a été retiré des eaux près du pont Vincent Thomas et une note  écrite de sa main faisant état de son intention suicidaire a été retrouvée dans ses bureaux, selon des sources policières citées par le Los Angeles Times.  Plusieurs témoins ont vu le réalisateur passer au-dessus d'une rambarde du  pont et sauter dans l'eau, selon le quotidien californien.
 
"Je confirme que Tony Scott est effectivement décédé", a déclaré l'une des porte-parole du cinéaste. La police a précisé que Tony Scott avait garé sa voiture, une Toyota Prius noire, sur le pont avant d'enjamber la rambarde et de sauter dans l'océan  Pacifique. Des plongeurs ont recherché le corps dans le détroit de San Pedro, selon les pompiers de Los Angeles, avant de trouver la dépouille.
 
Aucun indice dans l'immédiat ne permet de laisser penser qu'il puisse s'agir d'autre chose qu'un suicide. Outre son grand succès Top Gun où Tom Cruise avait le rôle principal, Tony Scott avait aussi dirigé les  films Enemy of the State, Beverly Hills Cop II et Crimson Tide. 
source : TF1
 

Justin Timberlake pourrait très bien finir par planifier son mariage tout seul

Photo:Starface

Toutes les femmes attendent l'instant fatidique où elles devront dire "oui" à l'homme de leur vie. Et autant dire que rien n'est laissé au hasard quand il s'agit de planifier son propre mariage. Mais Jessica Biel n'est pas une femme comme les autres. Tandis que certaines deviennent des monstres intransigeants, la belle actrice semble ne pas prêter grande attention à cet événement. En effet, face à tant d'indifférence, il se pourrait bien que Justin Timberlake doive le planifier lui-même ! La belle ne s'en plaint pas, bien au contraire.

Lors d'une interview avec le présentateur Ruth Langsford, on lui a suggéré de laisser son fiancé faire la planification du mariage. L'actrice semblait ouverte à l'idée et elle a même affirmé : "Il a beaucoup de goût". On se demande d'ailleurs si Justin va le prendre comme un compliment. La belle a également exprimé le souhait de vouloir prolonger la période de fiançailles, réputée pour être la plus belle période de la vie de couple.

"C'est très excitant, c'est juste difficile de trouver le temps, honnêtement ! Mais c'est une très bonne période, il faut en profiter et aller tout doucement", a-t-elle déclaré. Elle devra tout de même penser au style de mariage qu'elle voudra. Mais il semblerait que ce soit une autre question qui trouve pour le moment pas de réponse : "Je n'ai aucune idée ... Je suis une de ces personnes qui n'est pas très orientée détails. Je vais probablement donner une idée et les laisser la créer".

Justin aura été prévenu !
source: Actustar

Ces stars qui utilisent des doublures corps pour leurs films…

Reuters/Mario Anzuoni

Keira Knightley
Keira Knightley n'a jamais redouté montrer sa poitrine à l'écran. Cependant, montrer ses fesses lui est paru insurmontable. Du coup l'actrice a réclamé une doublure fesses pour le thriller Domino, dans lequel son personnage effectue un numéro de danse très osé. Et voici sa politique : «vous pouvez avoir la moitié supérieure, mais vous ne pouvez pas avoir la moitié inférieure ».
Elle expliquait lors d'une interview télévisée : «Je viens de regarder pour un fessier qui aurait la même forme que la mienne, en juste un peu mieux. Il y en avait un qui était vraiment incroyable et je me disais, personne ne va le croire. '


Reuters/Danny Moloshok

Mila Kunis
On pourrait penser que le corps de Mila Kunis suffirait à rendre n'importe qui sur grand écran : faux ! Dans « Sexe entre amis », avec Justin Timberlake, la comédienne a de longues scènes coquines avec l'acteur, mais ce ne sont pas ses courbes à l'écran : ce sont celles de sa doublure corps !





Reuters/Fabrizio Bensch

Angelina Jolie
Beaucoup d'hommes seront déçus d'apprendre que le joli derrière rebondi qui apparaît dans le film Wanted n'est pas celui d'Angelina..





Reuters/Mario Anzuoni


Catherine Zeta-Jones
Catherine Zeta-Jones est constamment couverte sur les plateaux de tournage, malgré ses rôles qui contiennent souvent quelques scènes de nu. L'actrice engage toujours une doublure corps.





Reuters/Steve Granitz


Natalie Portman
Après avoir remporté un Oscar pour sa performance dans Black Swan, Natalie Portman a été extrêmement touchée par les revendications de sa doublure corps qui expliquait que la comédienne n'avait pas réalisé la moitié des pas qu'on la voit effectuer lors du ballet dans le film. Sa doublure a déclaré: «Sur les scènes où on voit le corps en entier, je dirais que 5 pour cent sont Natalie ».






Reuters/Mario Anzuoni


Penelope Cruz
Lorsque Penelope Cruz était enceinte pendant le tournage de Pirates des Caraïbes 4, elle a fait appel à la famille, et a obtenu le droit de faire appel à sa sœur Monica pour être sa doublure corps.







Reuters/Andy Kropa


Lindsay Lohan
Lindsay Lohan doit ses célèbres scènes de nu dans le film Machete à sa doublure corps. L'actrice a utilisé de nombreuses doublures, qui ont même pris sa place sur les tournages lorsqu'elle était (très souvent) en retard...







Reuters/Kieran Doherty


Kylie Minogue
Kylie Minogue s'est fait connaître pour ses chansons, mais aussi pour son corps de rêve et ses fesses galbées dans ses pantalons dorés... Seulement à 43 ans, la chanteuse a fait appel à une doublure pour la campagne de publicité H&M à laquelle elle a participé en 2007.






Reuters/Mario Anzuoni



Britney Spears
Britney Spears est une récidiviste en matière de doublures corps. Elle en utilise très souvent dans ses vidéos pour tout ce qui est séquences dansées. Par exemple dans 'Til The World Ends.






Reuters/Mario Anzuoni


Christina Aguilera
Dans la pub Pepsi dont elle est la star, Christina Aguilera a engagé une doublure corps pour les séquences en bikini.
source : msn

dimanche 12 août 2012

Une start-up révolutionne le transfert de fonds

Wontanara propose aux membres de la diaspora africaine de faire les courses sur Internet pour leurs proches restés au pays.

Une jeune société cofondée par un entrepreneur guinéen et un investisseur français s'attaque au quasi-monopole de Western Union. Wontanara, «on reste ensemble» en soussou, la langue des régions Est de la Guinée, propose aux migrants de la diaspora de Guinée de prépayer les courses de leurs proches restés au pays, en évitant les transferts d'argent. Fondée l'été dernier, Wontanara réfléchit déjà à étendre ses services vers le Sénégal, le Cameroun et la Côte d'Ivoire.
Wontanara a été créée sur une idée simple: les membres de la diaspora font les courses, pour leurs proches restée au pays, sur une boutique en ligne de denrées alimentaires. Sur leur site www.wontanara.com, les migrants choisissent parmi une liste de commerçants locaux la boutique la plus proche de leur famille et sélectionnent ensuite les produits alimentaires qu'ils souhaitent offrir. Les courses sont payées via le terminal de paiement du site. Le bénéficiaire est immédiatement informé par un SMS du don, ainsi que des coordonnées du commerçant où il peut aller retirer les denrées. Le commerçant est payé par Wontanara une fois les produits délivrés.

Éviter les intermédiaires

«Nous sommes complètement transparents sur nos commissions, explique Alexandre Peisse, cofondateur de Wontarana avec Aboubacar Kourouma, nous prenons 10% sur le prix du paquet de riz local, en appliquant le taux de change du jour, quand les commissions des sociétés de transfert de fonds peuvent aller jusqu'25% pour les petits montants.» Le système de Wontanara permet surtout aux donateurs de s'assurer de la bonne allocation de ses fonds, et de protéger ainsi le destinataire d'éventuels intermédiaires peu scrupuleux.
Derrière ce projet à caractère social, se profilent ainsi d'importants enjeux financiers et économiques. Les transferts de fonds en Guinée atteignent à eux seuls 70 millions de dollars annuels. Wontanara, qui a atteint l'équilibre le mois dernier, ne capte pour l'instant qu'une partie de cette enveloppe. Mais l'entreprise entend bien faire bouger les lignes. Pour financer son développement vers le Sénégal, le Cameroun et la Côte d'Ivoire, la société cherche actuellement à lever 1 million d'euros.
source : Le figaro

Football, Ligue 1 Ibrahimovic : «Ce n’est que le début»

Pas encore à 100%, Zlatan Ibrahimovic a tout de même sauvé le PSG samedi soir face à Lorient (2-2) avec un doublé, accessoire à ses yeux. Même s’il reconnait que Paris est pour l’heure encore en rodage, il se veut résolument exigeant pour la suite.
Zlatan, quel est votre sentiment après ce match nul face à Lorient (2-2) pour débuter le championnat ?
Zlatan Ibrahimovic : Ce n’est que le premier match. L’équipe est nouvelle pour moi. Je ne suis avec elle que depuis une semaine et demie. Nous allons prendre le temps pour être mieux organisés. Ce n’est que le début. Nous avons le temps pour faire beaucoup mieux. C'est un premier match, et un premier point de pris. Il reste encore beaucoup de matches à jouer.
Comment vous êtes-vous senti ?
Je me sens bien. Je ne suis pas encore à 100%. Je ne m’entraîne que depuis une semaine et demie. Il me manque encore quelques séances pour être à 100%. Mais grâce à mes coéquipiers, j’ai marqué deux buts. Chaque jour, je m’entraîne et chaque jour, je progresse. Je vais maintenant partir en sélection pour quelques jours. Et quand je reviendrai, ça ira encore mieux.
Quel regard portez-vous sur la performance de la défense, quelque peu en difficulté ?
Je pense que quand vous défendez, vous défendez avec toute l’équipe. Pas seulement avec quatre joueurs. Si la défense est un problème, alors les onze joueurs sont le problème.
Etes-vous déçu par le résultat ?
Non. Absolument pas. Ce n’est que le premier match. Vous ne gagnez pas le championnat en gagnant un seul match.
Vous avez marqué deux buts. C'est un bon début pour devenir le meilleur buteur…
(Il coupe) Non. Je ne pense pas à ça. Si c’est Ménez qui marque, ou Lavezzi, c’est la même chose pour moi. Moi, ce que je veux, c'est gagner. Je préfère ne pas marquer et gagner plutôt que marquer et ne pas gagner.
Un mot sur l’ambiance du Parc des Princes...
L’ambiance était fantastique. A la mi-temps, nous perdions 2-0. Les supporters ont fait part de leur mécontentement et voulaient en voir plus. Je les comprends, je suis d’accord avec eux. Mais en deuxième période, on a été beaucoup mieux et bien meilleur. Nous avons réussi à revenir au score en marquant deux buts. Et on a pu voir immédiatement que les supporters étaient derrière nous, à essayer de tout faire pour nous aider, nous motiver et nous donner de l’adrénaline pour faire encore mieux.
Qu’avez-vous pensé du niveau de la Ligue 1 et notamment de cette équipe de Lorient ?
Lorient est une bonne équipe. Mais ce n’est pas à l’adversaire d’établir le niveau, c’est à nous de le faire, parce que nous sommes les favoris, que nous avons des joueurs fantastiques et qu’on veut gagner. C’est à nous d’établir un haut niveau.
Propos recueillis par Vincent Duchesne, au Parc des Princes

Un restaurateur agressé parce qu'il ne faisait pas le ramadan

Un commerçant marseillais a été menacé puis frappé par un homme qui exigeait la fermeture du snack pendant le ramadan.

«L'homme était en voiture, aux côtés d'une femme voilée. Il m'a interpellé à plusieurs reprises, menaçant: “Toi, je te conseille de fermer.”» Jean-Marc Azer, commerçant depuis trente ans dans le quartier de Belsunce à Marseille, est encore sous le choc. En début de semaine, après-midi, il a été brutalement agressé par un passant exigeant la fermeture de son snack en raison du ramadan. Après avoir été soigné à l'hôpital de La Conception, il est de retour dans son restaurant, malgré une ITT de six jours.
Entouré de ses trois employés, Jean-Marc Azer, âgé de 64 ans, a décidé de rester ouvert, mais ne sort plus dans la rue sans jeter un regard prudent aux alentours. «Je l'attends… explique-t-il. Au début, je n'ai pas compris ce que me voulait cet homme au volant d'une voiture grise, raconte-t-il. Je me suis approché. Plusieurs fois il m'a répété: “Tu as intérêt à fermer. On ne sert pas de nourriture pendant le ramadan.” Le ton est vite monté. Je lui ai répondu qu'il n'avait pas à faire sa loi en France. Ils ne vont pas tout imposer!» L'automobiliste redémarre. Mais moins d'une heure plus tard, Jean-Marc Azer entend un claquement sonore derrière lui. Le sang se met à couler de son oreille. L'homme l'a frappé par derrière avec une ceinture au bout métallique. Les pompiers arrivent.
L'affaire suscite beaucoup d'émotion dans le quartier, où le snack ne désemplit pas de visiteurs. Le restaurateur, d'origine égyptienne, mais de confession non musulmane, a reçu de nombreux soutiens, notamment celui de l'association des commerçants de Belsunce. Ces derniers ont écrit aux élus, à la préfecture et à la police pour exprimer leur «indignation». L'imam de la mosquée du Marché aux Puces (XVe), Haroun Derbal, a également condamné le geste de l'agresseur. «En trente ans, c'est la première fois que je vois une chose pareille, déplore le restaurateur. C'est un quartier où vivent une majorité de musulmans, mais aussi des juifs, des Arméniens, des chrétiens, des gens athées… et il n'y avait pas de problèmes. Il ne faudrait pas que cet homme donne le mauvais exemple.»
Le commerçant a déposé plainte et l'affaire, prise au sérieux, a mobilisé les services de police. Un enquêteur s'est rendu sur place mercredi pour rencontrer le commerçant blessé. Les bandes vidéo d'une caméra située à quelques mètres ont été saisies, mais le suspect, âgé d'une trentaine d'années, n'a pas été retrouvé. Le ramadan a commencé le 20 juillet et doit s'achever le 19 août.
source : Le Figaro

JO 2012, Athlé Lavillenie : «Tout était parfait»

Renaud Lavillenie vit les meilleurs moments de sa vie - AFP

Sacré champion olympique vendredi soir, Renaud Lavillenie savourait son concours parfait et estimait être en train de vivre les plus belles heures de sa vie.
A Londres
Renaud, vous venez d'être sacré champion olympique. Est-ce le plus beau jour de votre vie ?
Renaud Lavillenie : Oui. Enfin je ne sais pas si c'est aujourd'hui (Ndlr : vendredi) ou si ce sera demain (Ndlr : samedi). Mais je dirais que les 24 heures entre le début du concours et le moment où j'aurai ma médaille sont les plus belles que j'ai jamais vécues, sans hésitation. Mais ce titre n'est pas sorti de nulle part. Je me suis entraîné pour ça. Je savais que les Jeux olympiques ne seraient pas gagnés d'avance. Encore heureux d’ailleurs ! Mais ce soir, il y a tout eu, la performance, le record olympique, la manière... Tout est parfait (sourire).
Vous n'avez pas explosé de joie tout de suite quand vous avez su que vous étiez sacré. Pourquoi ?
Parce que le concours n'était pas fini. Je savais que j'avais le potentiel de faire quelque chose de grand et jusqu'au bout j’étais parti pour faire ça. J'ai tenté 6m02 car Bjorn (Otto) avait encore un essai puis 6m07 pour devenir le deuxième meilleur performeur de l'histoire.
Que vous est-il passé par la tête lorsque vous avez vu Otto et Holzdeppe passer 5m91 ?
Je me suis dit : "ce n'est pas fini" (sourire). Je ne peux pas dire que j'étais surpris non plus. Même s'ils étaient en difficulté à 5m85, je savais qu'ils avaient le potentiel pour aller plus haut. Après, je suis resté concentré sur ce que j'avais à faire, pour ne pas me laisser déstabiliser.
Je ne voulais rien avoir à regretter
— Renaud Lavillenie
Et au moment de vous élancer pour votre dernier essai à 5,97m, aviez-vous conscience de l'importance de ce saut qui allait décider de l'issue du concours ?
Je n'y pensais pas (sourire). Je pensais juste à sauter, à faire un super saut. Peu importe les conséquences, je ne voulais rien avoir à regretter. Et c'est ce qui s'est passé. Je n'ai pas pensé à la finalité de ce saut mais juste à donner le meilleur de moi-même et à me faire plaisir.
Une fois la barre franchie, comment arrivez-vous à rester dans le concours et à ne pas laisser éclater votre joie ?
J'ai toujours été comme ça. Même aux Championnats d'Europe en salle, en 2011, quand je fais 6m03, je suis tout de suite concentré pour tenter une barre plus haute. Ça fait partie de ma nature. Je ne me satisfais pas de quelque chose quand je sais que je peux avoir plus. Quand je passe 5m97, il reste encore un essai aux deux autres, donc rien n'était gagné. C'est pour ça que c'est une erreur de sortir de sa compétition et cette erreur, je ne l'ai pas faite.
Vous succédez à Jean Galfione, dernier champion olympique français. Qu'est-ce que ça représente pour vous ?
J'y pensais depuis longtemps. Je lui ai succédé il y a sept mois quand je suis devenu champion du monde en salle, comme lui. On partage plein de choses : on est les deux seuls Français à avoir passé 6 mètres, on a été champion du monde en salle, maintenant champion olympique. C'est grand parce que Jean, ce n'est pas un petit athlète. J'ai énormément de respect pour lui et ça fait plaisir, un plaisir partagé même, de lui succéder.
 Avez-vous repensé au concours de Daegu ?
Je n'ai pas fait cette erreur de repenser aux derniers Moindiaux car chaque concours est différent, même lorsque les scénarii se ressemblent parfois. J'avais juste en tête de donner le meilleur de moi-même, quoi qu'il arrive. J'ai progressé depuis l'an dernier, j'ai évolué même si certains n'ont pas cru en mes capacités. J'ai prouvé que ce n'est pas parce qu'on rate une compétition dans la saison qu'on n'est pas prêt. Quand on arrive sur un championnat, tout est différent et tout peut arriver.
source :sport24
 

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