Avec des airs de Cinéma Paradiso, Fellag retrouve son enfance, entre un Hollywood version Tizi Ouzou et la guerre d’Indépendance. Le comique algérien, tendre et féroce à la fois, nous transporte vers l’Algérie des années 60, celle où un petit berbère découvre le monde au coeur de la brutale tourmente qui agite son pays. A 12 ans, l’année de l’indépendance, les salles obscures sont alors ses refuges idéaux pour découvrir tout ce qu’à cet âge, un enfant rêve de savoir