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dimanche 16 décembre 2012

Football, Ligue 1 Aulas : «Un fantastique défi»

Avant le choc contre le Paris SG, le président de l’Olympique lyonnais, Jean-Michel Aulas, explique comment il compte lutter face aux moyens colossaux du club de la capitale, aussi bien sur qu'en dehors du terrain.
Si le Paris SG fait toujours figure de grand favori pour le titre de champion de France, c’est bien Lyon qui occupe la place de leader avant de se rendre au Parc des Princes dimanche soir pour le compte de la 18e journée de Ligue 1. Une position qui fait évidemment le bonheur du président rhodanien, Jean-Michel Aulas, et qui décuple son envie de continuer à concurrencer l’ogre parisien, aussi bien sur qu’en dehors du terrain.
Que vous inspire ce match nul concédé face à Nancy mercredi (1-1), qui réduit votre marge de manœuvre avant de vous rendre au Parc des Princes ?
Jean-Michel Aulas : De la déception principalement, car nous restions sur de bonnes performances face à des clubs d’un standing a priori supérieur à celui de Nancy. Mais cela s’explique sans doute par le fait que nous sommes actuellement dans une spirale de matches très importants et que le fait de jouer le dernier à Gerland avait un caractère trop protecteur. Nous avons eu beau essayer de prévenir les joueurs, cela n’a pas suffi. Mais cette déception doit désormais amener une réaction le plus rapidement possible.
Lyon-Nancy
Ce résultat peut-il s’expliquer par la jeunesse de votre équipe ?
 A la fois oui et non. Oui car c’est évident que dans la durée, la jeunesse est souvent moins performante, moins régulière et moins capable de gérer ses efforts que des joueurs expérimentés. Ceci étant, face à Nancy, malgré les blessés et les suspendus, nous avions une équipe qui tenait la route en termes d’expérience puisque l’on récupérait Dejan Lovren et Lisandro. Donc je pense vraiment que le problème que nous avons rencontré est lié au fait que cette rencontre se situait au milieu de très gros matches. Recevoir Nancy dans ce contexte, qu’on le veuille ou non, est toujours délicat sur le plan de la concentration, de la gestion de l’effort et de son intensité.
 Depuis 25 ans que nous sommes à la tête de l’Olympique lyonnais, nous ne nous sommes pas beaucoup trompés
— Jean-Michel Aulas
Au-delà de cette déception passagère, vous devez cependant être très satisfait de la première moitié de saison réalisé par vos joueurs. Cette réussite n’est-elle pas néanmoins paradoxale après la cure d’austérité opérée l’été dernier, dont certains observateurs estimaient qu’elle allait faire entrer votre club dans le rang ?
 Non, je trouve notre réussite logique. Depuis 25 ans que nous sommes à la tête de l’Olympique lyonnais, nous ne nous sommes pas beaucoup trompés. Et aujourd’hui, rien ne dit que cette cure d’austérité n’est pas à l’origine de nos bonnes performances. D’autant plus que cette cure ne correspond pas au départ de tous les plus gros salaires. Non, plus simplement, nous avons effectué un certain nombre de choix qui n’ont pas été faits de manière aveugle, mais qui répondaient à une logique de remise en cause de certains statuts au sein du vestiaire. Cela a été fait de manière très pertinente, et nous en avons la preuve actuellement. Et puis cela me réconcilie parfaitement avec l’idée que j’aie de certains conseilleurs trop conservateurs. Il ne suffit pas de mettre des joueurs qui ont été bons un jour les uns à côté des autres pour qu’ils soient bons toujours. Dans le football, il faut du talent, évidemment, mais aussi de l’humilité et de la remise en cause. Et c’est ce que nous avons injecté dans l’équipe en incorporant de jeunes joueurs.
Donc cette place de leader ne vous étonne pas finalement…
 Disons que c’est surtout notre niveau de performance qui ne m’étonne pas. Si nos joueurs sont bons actuellement, c’est que l’environnement est bon, que le staff technique travaille intelligemment. Je pense en particulier à Rémi Garde, notre entraîneur, qui arrive à donner à tous ses joueurs les ingrédients dont ils ont besoin. Je pense que le groupe a de l’ambition car on a su lui expliquer qu’il avait le talent pour rivaliser avec les meilleurs. Peut-être pas avec le PSG, avec qui il y a une grande différence au niveau de la technique individuelle et du nombre de talents à disposition. Mais par rapport aux autres, ils sont convaincus qu’il y a quelque chose à faire.
Etes-vous réellement convaincu de ne pas être en mesure de devancer Paris SG en fin de saison ?
Sur la longueur d’un championnat, oui, je suis à peu près certain que c’est impossible pour nous. Sur un match, on peut lutter en revanche. Et si par bonheur nous avions six points d’avance sur Paris dimanche soir, bien sûr que l’on peut toujours rêver. Mais d’un point de vue rationnel, j’estime que le PSG n’a pas de concurrents en France à l’heure actuelle. D’autant plus avec ce que j’ai vu lors de la dernière journée. Sur ce qu’a montré le PSG face à Valenciennes, ce club a d’autres arguments que nous en ce moment.


N’auriez-vous pas préféré jouer Paris il y a trois semaines ?
Bien sûr que si ! A ce moment-là, il y avait de la place. Mais c’est aussi pour ça que ce sera difficile pour nous de finir devant une équipe qui est plus forte, car celle-ci a toujours la capacité de rebondir et de repartir encore plus fort. Le PSG d’il y a trois semaines était prenable. Mais depuis ce qui est pour moi son match référence face à Porto, ce n’est plus du tout le cas.
A-t-on peur avant d’affronter Zlatan Ibrahimovic ?
Bien sûr ! C’est cela aussi l’humilité dont je parlais. Il est légitime de craindre le talent, la force physique de Zlatan Ibrahimovic, tout comme cela l’est vis-à-vis de la vitesse de Jérémy Ménez ou de Lavezzi. Ceci étant, les joueurs qui vont les affronter auront une motivation à la dimension de cette crainte. Parfois, celle-ci génère le surpassement. Et on va évidemment jouer sur cette possibilité-là.
Le Paris SG tire le football français vers le haut à de multiples niveaux
— Jean-Michel Aulas
Entre Paris et Lyon, il semble aussi y avoir un match dans un futur proche au niveau du fair-play financier. Estimez-vous que les investisseurs qataris faussent le championnat ?
Sur le sujet, j’ai la vision d’un président de club et d’un vice-président de la LFP, qui est une vision très positive de ce que fait le PSG. Ce club tire le football français vers le haut à de multiples niveaux, comme son impact sur les droits de la télévision. Et on peut imaginer qu’après ses investissements sur des joueurs à l’étranger, l’équipe dirigeante du PSG est suffisamment pertinente et intelligente pour faire des acquisitions auprès des clubs français. Donc je pense vraiment que le football hexagonal ne peut que se féliciter de l’arrivée des Qataris. Après, sur la question de la mise en place du fair-play financier, j’ai effectivement quelques craintes. Les règles édictées par l’UEFA sont en effet antagonistes avec la politique actuelle du PSG. Mais je laisse le soin aux responsables du club parisien et de l’UEFA de régler ce différend.



La tranche d’imposition sur le revenu à 75% n’est-elle pas aussi problématique pour le futur, sachant que le club parisien a sans doute davantage les moyens de composer avec que d’autres clubs ?
 La mesure générale est problématique pour garder les meilleurs joueurs. Cela concerne effectivement en premier lieu le PSG, mais cela ne devrait pas les pénaliser plus que cela. Ils devront juste investir davantage pendant deux ans, qui devrait être la durée de vie de cette mesure, du moins c’est ce que l’on espère. Mais là où cette mesure devrait être plus discriminatoire pour les autres clubs, c’est vis-à-vis d’un club comme Monaco qui lui n’a ni charges sociales, ni impôts pour les joueurs. Donc pour moi, cette mesure n’entraîne pas un problème vis-à-vis du PSG, mais d’un autre club. Après, ce sera à nous de trouver un modèle économique qui s’inscrira dans un modèle de fair-play et qui nous permettra de concurrencer les plus grands clubs. Et c’est là qu’intervient la conception de notre propre stade, qui nous permettra de générer un certain nombre de recettes récurrentes.
Donc l’avenir de Lyon repose sur l’édification de ce stade, et aussi sur une solide politique de formation…
 C’est tout à fait ça. On a toujours le premier budget de France en matière de formation et c’est un secteur dans lequel nous avons toujours investi, même quand nous étions champions de France. Et l’on voit dans nos résultats cette année la part prise par l’émergence de ces jeunes. Et puis il y a cette nécessité aujourd’hui d’être propriétaire de notre stade, comme cela se fait en Allemagne notamment, ou à Arsenal. Il faut que les revenus remontent à 100% au club. Cela demande des investissements considérables que nous faisons en tant qu’actionnaire normal, en fonds propres, contrairement à d’autres attributions politiques. Ce qui permettra de respecter le prochain fair-play financier, ce sera d’avoir des recettes en ligne avec les dépenses. Et pour cela, il faut avoir une politique très fine en termes de salaires et savoir se construire les ressources de demain. Notre futur Stade des Lumières sera là pour cela. C’est un fantastique challenge pour nous que de lutter avec Paris avec nos moyens.
source : Sport24

Adèle ne reconnaît pas son fils : La mère indigne de la semaine

Malgré un coffre reconnu par toute la scène internationale, Adèle n’a semble-t-il pas décidé de faire entendre la voix de son fils, né le 19 octobre dernier.
En effet, comme le rapporte le Sun, la chanteuse et son compagnon n’aurait pas encore officialisé sa naissance auprès de l’administration britannique. Les parents disposant de 42 jours pour effectuer cette démarche ont donc dépassé l’autorisation légale. Aussi, la diva serait susceptible d’encourir une amende de 1000 livres, soit 1240 euros !
Mais que les fans se rassurent, comme l’explique un spécialiste au Sun : « Je ne vois pas la police aller frapper à leur porte demain, c'est probablement un simple oubli de leur part. La plupart du temps les parents déclarent leur enfant dans les deux semaines qui suivent la naissance. Il y a plein de raisons pour lesquelles les parents le font tardivement et il y a des millions de couples qui ne le font pas pendant des mois. »
source : msn 

Rotshchild, un certain art de vivre

Ariane et Benjamin de Rothschild dans le salon vert et or de leur hôtel parisien. Bien qu'intéressés par l'art contemporain, ils sont aussi amateurs de mobilier et de peinture du XVIIIème siècle. Crédits photo : RAPHAEL GAILLARDE/Le Figaro Magazine



Ils sont banquiers, collectionneurs, mécènes, viticulteurs... Depuis près de trois siècles, leur nom est inséparable de l'histoire, comme en témoigne une exposition à la Bibliothèque nationale de France. Nous avons rencontré les héritiers de cette grande famille européenne.

Il y eut un temps où, en langage courant, la référence à Crésus pour rendre compte de l'infinie richesse a perdu de son pouvoir évocateur et cédé la place dans la mythologie des temps modernes à la référence à Rothschild. Il y eut également un temps, dans l'histoire de la célèbre famille, où le sobriquet qui la désignait fut rehaussé de la particule annonciatrice de l'anoblissement et du titre de baron. Ce n'était que la reconnaissance officielle de la place éminente qu'ont occupé les «de Rothschild» au temps de la Sainte-Alliance, sous la monarchie de Juillet, le Second Empire et les républiques à venir. Une ascension aussi rapide avait évidemment frappé les imaginations. Stendhal, le premier, écrira «riche comme Rothschild».
Leur arbre généalogique plonge ses racines dans le ghetto de Francfort-sur-le-Main, au milieu du XVIIIe siècle. L'ancêtre Mayer Amschel Rothschild habite avec sa famille une ruelle sordide. On ne lui accorde pas le droit d'exercer un métier noble, de vendre des étoffes ou même de devenir forgeron ou menuisier. Alors, comme beaucoup d'autres Juifs, il spécule, vit du commerce de l'argent, accepte de parcourir les routes d'Allemagne dans une mauvaise voiture pour recouvrer les intérêts dus à son protecteur, le margrave de Hesse. La force de Mayer, c'est qu'il n'agit pas seul: il envoie chacun de ses cinq fils s'établir dans une grande capitale d'Europe, organisant ainsi de solides réseaux d'information au sein de la famille. Bientôt, les Rothschild père et fils vont développer un système de courrier privé plus rapide que celui des Etats eux-mêmes. Les cinq frères mettent ainsi en place la première multinationale de l'histoire, devenant, du même coup, des «Européens» avant la lettre. C'est la source de leur puissance. Les Rothschild de la deuxième génération, parmi lesquels le cadet, James, que son père envoie à Paris, sont déjà des hommes fort riches.



Dans les salons de Waddesdon Manor, panneaux sculptés et meubles provenant de Versailles se succèdent. Aux murs, des portraits de l'école anglaise, des toiles de Greuze et de Lancret. dans les vitrines et sur les étagères, des porcelaines de Sèvres. Une abondance de bon ton. Crédits photo : RAPHAEL GAILLARDE/Le Figaro Magazine





À travers le destin de la famille Rothschild, l'exposition présentée à la BNF s'attache à la personnalité de James. Quand il arrive à Paris en 1812, il a 20 ans. Ivre de liberté, il se jette dans le travail avec une espèce de sauvagerie. Son ascension est fulgurante et l'on croise bientôt chez lui tout ce que Paris compte de diplomates, de ministres, d'aristocrates qu'il traite avec une certaine ironie. Les grands négociants fréquentent le cercle de la rue de Gramont? Lui se fera élire en 1829 au cercle de l'Union, le plus noble, le plus snob, et le plus rigoriste. Ses concurrents forment une bourgeoisie jalouse de ses conquêtes? James deviendra l'intime des Noailles, des Ligne, des princes d'Orléans. Rêvera-t-il alors de marier sa fille à un duc? Justement pas. Les Rothschild ne se mariaient qu'entre eux, préférant aux grandes alliances flatteuses des mariages entre cousins et nièces qui permettaient à la dot de rester dans le patrimoine familial commun. Dès le début de sa carrière, James, qui avait épousé sa cousine Betty, se rangea dans le camp de la contre-révolution, ce qui l'amena à combattre Napoléon en qui il voyait la résurgence de l'esprit jacobin, à choisir la Sainte-Alliance des monarques et donc à soutenir tout ce qui ressemblait à une Restauration après la tempête révolutionnaire. La longue guerre qui déchira l'Europe de 1792 à 1815 fut à l'origine de sa fortune. James devint le banquier de Louis XVIII et de Charles X, avant de devenir celui de Louis-Philippe et son homme de confiance. La faveur royale lui permit de bien se placer dans la grande révolution industrielle qui allait faire de lui le magnat des chemins de fer.
Comme ses frères, James sera pris de la passion de construire. Il demandera à l'architecte britannique Joseph Paxton de restaurer le château de Ferrières. C'était une propriété de légende, où 120 domestiques servaient plusieurs fois par semaine des dîners de 60 couverts, où on lessivait 80.000 pièces de linge à l'année, où les écuries pouvaient accueillir 80 chevaux et où un système de wagonnets en sous-sol permettaient d'acheminer les plats des cuisines dans la salle à manger.Typique de ce que l'on a appelé le «style Rothschild», la décoration de Ferrières était un mélange savamment dosé d'opulence et de confort, de goût du gigantesque et de passion vraie pour les oeuvres d'art. James sera le premier Rothschild à collectionner des tableaux. Son premier achat sera une toile de Jean-Baptiste Greuze, La Laitière, aujourd'hui au Louvre. L'école française n'était pourtant pas sa préférée, son intérêt le portait surtout vers les primitifs flamands tels que Jan Van Eyck (la Vierge et l'Enfant avec saints et donateurs) ou Hans Memling (la fuite en Egypte), deux chefs-d'oeuvre eux aussi légués au Louvre.



A Mouton, Philippine de Rothschild s'est entourée de peintures et de sculptures des XVIIIème et XIXème siècles, de «curiosités» en pierre dure et en porcelaine. Un mélange très réussi de beauté et d'originalité, qui fait le charme de Mouton. Crédits photo : ERIC SANDER/Le Figaro Magazine









Chaque Rothschild mériterait une biographie. Nathan, le frère de James, passait pour avoir de l'humour. Comme sa fille Hannah aimait la musique, il se laissa convaincre de donner un concert où Paganini vint jouer. Il le félicita en prenant l'accent yiddish: «Foilà une cholie muzique.» Il fit alors tinter des pièces de monnaie dans sa poche: «Za, z'est ma muzique à moi. Le monde l'égoute avec adention mais ne la respecte pas autant.» Les cousins Rothschild redoutaient la tante Alice, jardinière émérite mais redoutable bougon, qui agrippa un jour le bras de la reine Victoria en lui criant: «Arrêtez de marcher sur mes pelouses.» Il faudrait des volumes entiers pour expliquer les Rothschild et leurs châteaux, les Rothschild et les chevaux de course, les Rothschild et le vin. Des livres et des livres pour dresser la liste de leurs fondations. Et bien d'autres ouvrages encore pour énumérer les splendides oeuvres d'art dont ils ont fait don aux musées. Aujourd'hui encore, le nom de Rothschild est lié à l'origine du système bancaire international, à de fabuleuses richesses, à de la croissance sociale et à la montée sans pareille d'entreprises, ainsi qu'à un style de vie servant de critère. Est-ce pour cela que James de Rothschild, le vrai James, est cent fois plus passionnant que tous les Nucingen, Lucien Leuwen et autres Gundermann que, dit-on, il inspira à Balzac, Stendhal ou Zola?
source : Le Figaro

Gérard Depardieu dit renoncer à la nationalité française

Ulcéré par le premier ministre, qui a qualifié de «minable» son établissement en Belgique, l'acteur français explique dans une lettre ouverte se sentir «injurié». «Je vous rends mon passeport. Nous n'avons plus la même patrie, je suis un citoyen du monde», prévient-il.

Une réponse à la hauteur de sa gouaille légendaire et de son goût pour la démesure. Ulcéré par les propos du premier ministre, Jean-Marc Ayrault, qui trouve «minable» son établissement en Belgique pour échapper à la fiscalité de l'Hexagone, Gérard Depardieu a annoncé dimanche renoncer à sa nationalité française. Dans une lettre ouverte publiée par Le Journal du dimanche, le comédien estime avoir été «injurié» par le premier ministre.

Le héros du Dernier Métro commence ainsi sa «Lettre ouverte à M. Ayrault Jean-Marc, premier ministre de M. François Hollande»: «“Minable”, vous avez dit “minable”? Comme c'est minable!» «Je ne demande pas à être approuvé, je pourrais au moins être respecté! Tous ceux qui ont quitté la France n'ont pas été injuriés comme je le suis», remarque l'acteur. Rappelant avoir commencé à travailler «à 14 ans comme imprimeur, comme manutentionnaire puis comme artiste dramatique», Gérard Depardieu affirme avoir «toujours payé (ses) taxes et impôts».

Belgique: des «raisons intimes» aussi

«Qui êtes-vous pour me juger ainsi, je vous le demande, M. Ayrault, premier ministre de M. Hollande, je vous le demande, qui êtes-vous?», apostrophe celui qui prête ses traits au cinéma à Obélix. «Je n'ai jamais tué personne, je ne pense pas avoir démérité, j'ai payé 145 millions d'euros d'impôts en quarante-cinq ans, j'ai payé, en 2012, 85% d'impôts sur mes revenus et je fais travailler 80 personnes (...). Je ne suis ni à plaindre ni à vanter, mais je refuse le mot “minable”», insiste-t-il, répétant le qualificatif qui ne passe pas. Choix de mot sur lequel Jean-Marc Ayrault est, depuis, un peu revenu. «Je vous rends mon passeport et ma Sécurité sociale dont je ne me suis jamais servi», prévient l'acteur. «Nous n'avons plus la même patrie, je suis un vrai Européen, un citoyen du monde, comme mon père me l'a toujours inculqué», poursuit Gérard Depardieu.


Dans ses griefs, la star évoque aussi des raisons plus intimes. «Je trouve minable l'acharnement de la justice contre mon fils Guillaume(décédé en 2008, NDLR), condamné à de la prison ferme pour deux grammes d'héroïne quand tant d'autres échappaient à la prison pour des faits autrement plus graves.» «Je ne jette pas non plus la pierre à ceux qui ont trop de cholestérol ou trop d'alcool dans le sang et qui s'endorment sur leur scooter, je suis l'un des leurs», poursuit-il en allusion à ses derniers démêlés avec la justice. L'acteur comparaît le 8 janvier sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC) pour conduite en état d'ivresse. «Malgré mes excès, mon appétit et mon amour de la vie, je suis un être libre Monsieur et je vais rester poli», conclut-il, théâtral.

Hollande pour une renégociation des conventions avec la Belgique

C'est la première fois que Gérard Depardieu s'exprime depuis l'annonce de son exil fiscal outre-Quiévrain, qui lui a valu de nombreuses critiques. Le président François Hollande a ainsi fait appel, vendredi, au «comportement éthique» de chacun, et a prôné une renégociation des conventions fiscales avec la Belgique. Un député socialiste a même proposé que les exilés fiscaux soient déchus de leur nationalité s'ils n'acquittent pas d'impôt en France. Une idée cependant impossible à réaliser sur le plan juridique. Les remarques ont également fusé du monde du spectacle. Line Renaud a dit ne pas comprendre comment on pouvait «quitter le bateau quand son pays est en difficulté».
En Belgique, Gérard Depardieu a acquis une maison à Estaimpuis, dont dépend le village de Néchin, à la frontière française, non loin de Roubaix. 2800 Français y résident déjà. À Paris, la vedette a mis en vente son hôtel particulier, situé rue du Cherche-Midi, à Saint-Germain-des-Prés. Une demeure de 1800 m² habitable qui serait évaluée à 50 millions d'euros.

 source : msn

Athlétisme: Christine Arron annonce qu'elle arrête sa carrière

AFP/Archives


La sprinteuse Christine Arron annonce dans le Journal du dimanche qu'elle met un terme à sa carrière, estimant à 39 ans qu'"il faut bien arrêter un jour".

"Après 35 ans, c'est devenu plus difficile au niveau récupération", confie la détentrice du record d'Europe du 100 m (10 sec 73), assurant qu'elle "aurait bien aimé continuer mais, bon, il faut bien arrêter un jour..."
Enceinte de quatre mois, elle explique que "c'est la décision d'avoir un enfant qui a entraîné la décision d'arrêter".
source : msn

dimanche 9 décembre 2012

Miss France 2013 : revivez les meilleurs moments de la cérémonie (2/2)


Pleine de vie. Fan des mystères de l’histoire de France. 





Dynamique, volontaire, trop franche. Passionnée de golf.




Naturelle, dynamique. Sa devise ? Carpe Diem. Pratique régulièrement le jet ski.




Animatrice dans un centre de loisirs. Franche sincère, généreuse et élégante.




Aimable, déterminée, toujours à l’écoute. Elle pratique la gymnastique artistique.




Authentique, généreuse, désordonnée. Ceinture noire de karaté.



Cette Miss adore la musique et joue de la batterie. Elle avoue avoir un tempérament de battante.




Aime les balades en plein air. Accorde une grande importance aux valeurs humaines.



Persévérante et curieuse. Adore faire des cupcakes, suivre son cœur et croire en ses rêves.




'Je m’autorise à voir les choses en grand'.




Passionnée de photographie.



C'est la 2e fois qu’elle se présente au concours Miss France. Passionnée par les parfums. Elle souhaite allier charme et caractère.



A été élue le jour de son anniversaire. Cette miss est toujours en mouvement. Très généreuse et très gaie, elle pratique la pétanque en famille.



Elle aime finir ce qu’elle entreprend et donner le meilleur d’elle-même. Pratique le cyclisme. Elue Miss Cycliste.



Elle pratique le handball et a l'esprit d'équipe.



Elle aime la précison et l'élégance, et fait de la danse indienne.



Spontanée, souriante, pleine d’humour, elle pratique la natation. Sa devise ? Fais de ta vie un rêve, et de ce rêve une réalité.




Très intéressée par l’art. Elle peint.



Etudiante infirmière. Aime apporter chaleur et réconfort dans les moments difficiles



Très sportive, cette jolie Tahitienne a très envie de porter haut et fort les valeurs de la France dans le monde.



Son but ? Toujours rester positive. Cette miss est volontaire, impliquée. Elle monte à cheval et s'investit dans de nombreuses oeuvres humanitaires.



Amour, humanité et partage sont ses maîtres-mots. Pétillante, entière, et spontanée, elle adore le sport.
source : msn

Miss France 2013 : revivez les meilleurs moments de la cérémonie (1/2)


Hier soir, Miss Bourgogne a été élue Miss France 2013, et succède donc à Delphine Wespiser.
Outre le couronnement de la charmante Marine Lorphelin, la soirée a été marquée par de nombreux moments forts.
Entre défilés en robes de soirées et maillots de bain, intervention surprise de Jamel Debbouze et Gad Elmaleh, et présentations mouvementées des candidates, cette élection a été riche en rebondissements.



Les 33 Miss ont fait leur entrée sur une musique de Whitney Houston, disparue cette année.
Le thème de la soirée : le cinéma et ses grandes actrices.


Comme d'habitude, Jean-Pierre Foucault est aux commandes


Sylvie Tellier, DG de la société Miss France, est aussi de la partie !


Cette année encore, Alain Delon présidait le jury de lélection Miss France. Il a choisi pour vice-présidente 'sa Mimi. Mireille Darc'.
L'actrice s'est d'ailleurs dit très heureuse d'assister à la soirée. Puis, s'adressant à Jean-Pierre Foucault, elle explique : 'Je vous aime beaucoup Jean-Pierre, mais je l’aime encore plus fort ».





Très humble, le top modèle explique : « J’ai été découverte au hasard, moi je n'aurais jamais eu le courage. Je les admire, elles sont très très courageuses ».




Maladroite, souriante, elle est passionnée de danse.





Très expressive, persévérante. Elle aime les surprises et faire de belles rencontres. Elle danse régulièrement la salsa.


 

Humble, elle sait reconnaître ses défauts. Elle est passionnée de curling.




Loyale. Passionnée par le chant.




Elle sait comment surmonter les difficultés et veut toujours prendre la vie du bon côté. Cette Miss aime se détendre, notamment grâce aux massages.



Humble, persévérante, elle sait s'affirmer et se dépasser pour atteindre ses rêves. Aime dessiner pour s’évader.



Etudiante en droit pour devenir juge pour enfants. Pense aux autres avant elle. Joue du piano.




Cette Miss est sapeur-pompier, et spécialisée dans le sauvetage en mer.




Persévérante, dynamique. Sa devise ? Les voyages forment la jeunesse. Pratique le motocross.



Souriante, curieuse, maladroite. Joue du violon.



Etudiante en droit. Veut devenir magistrat pour enfants. Basket. 
source : msn