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lundi 25 juillet 2011

Amy Winehouse est morte: Le corps retrouvé à son domicile


Amy Winehouse a été retrouvée morte samedi à son domicile à Londres, rapportent les chaînes de télévision britanniques. Pour la police, le décès reste inexpliqué pour l'instant mais la presse anglaise parlait dimanche d'une overdose. Retour en image sur la fin prématurée, à 27 ans, de la reine de la Soul...





Morte à 27 ans

 





Samedi 23 juillet, il est 15 heures, un service d'ambulances appelle la police pour lui signaler la présence d'un corps dans un appartement du nord de Londres. Le cadavre est celui d'une jeune femme de 27 ans, les agents reconnaissent Amy Winehousse...














"Un décès inexpliqué"





Pour l'instant, la police qualifie le décès d'inexpliqué, mais la chanteuse se battait depuis des années contre de nombreux problèmes d'addiction à l'alcool et la drogue.







Le désastreux concert de Belgrade

 





Amy Winehousse avait annulé au mois de juin l'ensemble de sa tournée européenne après un concert désastreux à Belgrade, en Serbie, où elle avait été huée, incapable de chanter ses propres textes. Fin mai, elle avait terminé une cure de désintoxication. En octobre dernier, la chanteuse avait déclaré avoir décroché de la drogue depuis 3 ans.











Quatre Grammys Awards

 





Révélée en 2006 par la chanson Rehab, la chanteuse avait obtenu en 2008 quatre Grammys Awards, la plus prestigieuse récompense musicale américaine, dont celui de la meilleure nouvelle artiste et du meilleur album. Mais elle n'avait pas pu assister à la cérémonie à Los Angeles en raison d'ennuis judiciaires.



Une overdose ?



Les causes de la mort d'Amy Winehouse, n'ont toujours pas été officiellement déterminées, l'autopsie du corps étant toujours en cours, ce dimanche 24 juillet. Mais selon certains journaux anglais Amy Winehouse aurait succombé à une overdose de drogues mélangées à de fortes doses d'alcool. Des témoins auraient en outre vu la chanteuse se fournir près d'un dealer bien connu du Nord de Londres.
source: msn.fr



mardi 19 juillet 2011

Complètement à l’Est ! Cap sur l'Istrie, la Serbie et la Slovénie pour des vacances revigorantes

De l’Istrie, le « triangle d’or » croate, aux verdoyantes montagnes slovènes, sans passer à côté de la Serbie qui a beaucoup à offrir et tant besoin de nous, cet été, on met le cap à l’est de l’Europe pour un voyage écolo, solidaire et ô combien revigorant.

 

Certains points du globe s’inscrivent dans nos chairs pour la violente beauté de leurs paysages, la générosité de ceux qui les peuplent ou leur rafraîchissante différence culturelle. Les « pays de l’Est », comme on dit depuis que la Yougoslavie n’a plus le droit de cité que dans les livres d’histoire, possèdent tout cela à la fois et s’en rendent à peine compte. D’où l’accessibilité de leur offre.
Meurtris par la guerre – c’est encore plus vrai de la Serbie –, ils s’appliquent, avec les moyens du bord, à organiser un tourisme aux antipodes des pitoyables cas d’école que sont devenues les Canaries ou la Costa Brava. Quels que soient leurs différends historiques ou leur niveau de vie, ils s’opposent d’une seule voix à la création d’hôtels de masse pour privilégier un tourisme raisonné et respectueux de leur identité. Alors qu’ils complexent d’un supposé retard, ils sont bel et bien en avance !
Voilà pourquoi nous avons choisi de vous guider à travers la Slovénie, la Serbie et l’Istrie, cette région qui fait face à Venise, nargue la populaire Dalmatie et, bien que parfois plus italienne que croate, témoigne avec sa douceur de vivre de l’intense éveil des Balkans.



L’Istrie, dolce vita et agritourisme

De nos trois destinations, elle offre le confort le plus sûr et des repères aux non-aventuriers. Ici, la piste verte se teinte de marron pour l’intérieur des terres, de rouge pour le vin (tout le monde a sa vigne), de mauve pour la lavande… L’idéal est de séjourner dans l’un des petits villages perchés à une vingtaine de kilomètres de la côte. Une remarquable mais drastique politique en faveur de l’agritourisme y a permis l’éclosion de véritables oasis vertes : 90 % des aliments (huile d’olive, prosciutto, fromage de brebis, canard, asperges sauvages, pain, œufs, lait, truffes noire ou blanche selon la saison) doivent ainsi être autoproduits, en famille et sans engager de main-d’œuvre.
Modèle du genre et havre gastronomique, la ferme-auberge de Davorka Šajina, à Žminj. La dame commet mieux que quiconque ces flans trempés dans le vin blanc (malvazija) et saupoudrés de sucre glace, typiques de la région, et donne même des cours de cuisine. L’occasion aussi de goûter sa surprenante eau-de-vie de houx (biska).
D’autres maisons d’hôtes se sont davantage focalisées sur l’aspect architectural, comme l’écohouse Arbalovija, toujours à Žminj, reconstruite avec des pierres locales que l’on a ramassées et recouvertes d’un colorant naturel. Quant au bois restant de la construction, il a été réutilisé pour fabriquer le mobilier intérieur : rien n’a été acheté, une ancienne fenêtre est devenue placard à vaisselle, une porte a fait des montants de lit…

Peinture à la chaux et ampoules basse consommation y sont évidemment de mise. Même esprit écolo à la cave Kabola qui, outre produire du vin en amphores comme les Romains, vient d’obtenir l’écolabel Agro Bio Center pour ses crus biodynamiques.
Ne quittez pas l’Istrie sans avoir visité les merveilles que sont la ville côtière de Rovinj et le petit village de Grojnan, avec son église du XVe siècle et ses vingt-cinq ateliers d’artistes. Aventurez-vous, enfin, sur l’île Veli Brijun et son terrain de golf où les pesticides sont bannis, le green est composé de sable pressé et des cerfs mangent les mauvaises herbes !

Infos pratiques

Ferme Davorka Šajina, Lindarski Katun 60 (lieu-dit : Ograde), 52000 Pazin. Tél. : 00 385 (0)52 693 035.
E-mail : agroturizam-ograde@pu.t-com.hr
À 23 km de la mer. 100 € la nuit pour un appartement de 3 chambres doubles. Pour une seule chambre, les prix sont sur demande.
Cours de cuisine : 200 € pour 10 personnes.
Écohouse Arbalovija,
chez Gracijela Orbanić, Dončići 15
52341 Žminj. Tél. : 00 385 (0)52 846 014 ou
00 385 (0)98 368 519 (portable).
E-mail : gracijela.orbanic@pu.t-com.hr
De 600 à 900 € par semaine selon la saison, en appartements de 6 à 9 personnes. La villa avec jardin et piscine écologiquement gérée possède 3 appartements, si on est nombreux on peut la privatiser complètement.
Vina Kabola, Kanedolo 90, 52462 Momjan.
Tél. : 00 385 (0)52 779 208. www.kabola.hr
En savoir plus sur l’Istrie et trouver d’autres hébergements (hôtels, fermes, villas à louer) : www.istra.hr





La Serbie chez l’habitant

Côté serbe, on se sent tout de suite plus dépaysé. Aux paysages bucoliques se superposent les regards profonds et souriants des habitants qui, en dépit du chômage (un Serbe sur sept a un emploi), rayonnent d’un bonheur dont nous avons parfois perdu la recette. C’est ce qu’ils nous donneront de plus précieux, avec leur cuisine « de maman » toujours élégamment présentée ! Impossible d’entrer – et encore moins de séjourner – dans une maison sans goûter ses spécialités : fraises sauvages, bœuf séché, tarte au fromage, jus de pêche, pain aux épinards, légumes du potager… et raki bien sûr ! Avant de commencer, on brise le pain, on le trempe dans le sel et on en croque une bouchée. Bienvenue !
Les habitants accueillent donc les touristes chez eux, mais avec confort et intimité (la plupart des maisons aménagent une salle de bains par chambre). Pour en moyenne 20 euros quotidiens, la moitié pour les enfants de plus de 4 ans (gratuit pour les plus jeunes), on mange trois fois par jour (si toutefois on y arrive !) et l’on dort dans de jolis draps brodés par la dame. Jardin et très souvent piscine accompagnent la lente course du temps dans un silence entrecoupé du bruit d’un ruisseau.

C’est une vraie volonté locale, exclusivement portée par le ministère de l’Agriculture et quelques personnalités engagées comme Ivanka Tasić, la responsable de l’organisme touristique PanaComp, de développer le tourisme à domicile pour que le produit en revienne directement aux habitants et non à des investisseurs étrangers en mal de terres vierges. De fait, la nature est incroyablement préservée en Serbie. Là-bas, on n’est pas bio par choix, encore moins par calcul, mais par évidence, parce qu’on n’a jamais appris à faire autrement. D’où une offre touristique aussi embryonnaire que respectueuse des équilibres. L’un des derniers édens.

Infos pratiques

Pour trouver un hébergement, téléphoner ou écrire en anglais à Ivanka Tasić, en précisant bien ses exigences en termes de confort. Parmi les maisons que nous avons visitées, deux coups de cœur : celle de la blonde et joviale Gordana, ainsi que les petits chalets tout confort éparpillés dans le jardin de Zeljko et Marija Sreddic, qui organisent aussi de magnifiques randonnées, apprennent le français et offrent le wi-fi.
Tél. : 00 381 21 466 075.
E-mail : info@panacomp.net
www.panacomp.net




La Slovénie ou “l’écobeauté”

Tandis que l’avion se pose à Ljubljana, la capitale encerclée de montagnes coiffées de neiges éternelles, on se dit que les plus belles surprises se trouvent parfois à notre porte. Sur la route, des clochers émaillés de couleurs et des vallons qui semblent tous habités par un infatigable jardinier. Le miracle esthétique se poursuit à Bled, dont le château millénaire plonge sur un lac majestueux. Au milieu, une minuscule île abrite une chapelle où les Slovènes se pressent pour se marier, à condition que Monsieur porte Madame du bateau au perron de l’église, comme l’exige la tradition !
À une demi-heure en voiture, voilà Bohinj et un autre gigantesque lac où se reflètent les montagnes couvertes de fleurs sauvages (on les utilise d’ailleurs beaucoup dans la gastronomie). Tous les bateaux y circulant sont électriques. C’est là que nous avons déniché le Bohinj Park Hotel, construit sur une source chaude et fonctionnant sur le principe de la géothermie. Tous les matériaux utilisés sont naturels, les meubles conçus en plastique recyclé, le recyclage des déchets assuré, etc. Et l’hôtel est follement agréable (mention spéciale au Spa).

Un peu plus loin, dans la vallée de Solčava, la ferme Lenar met un point d’honneur à cultiver sans engrais. Dans ce hameau composé de six maisons d’hôtes appartenant à la même famille, on récupère l’eau de la cascade – laquelle fournit également plus d’électricité que celle consommée par les habitants – et l’on se chauffe avec la biomasse. Un des exemples éloquents de la démarche de la Slovénie, un pays érudit, visionnaire, qui connaît ses ressources et a à cœur de les préserver et les partager.

Infos pratiques

Renseignements et hébergements sur Bohinj (nombreux loisirs) : office de tourisme, Triglavska Cesta 30, 4264 Bohinj.
Tél. : 00 386 (0)4 574 75 90.
E-mail : info@bohinj.si
www.bohinj.si
Bohinj Park Hotel, Triglavska Cesta 17, 4264 Bohinj.
Tél. : 00 386 (0)8 200 41 40. www.bohinj-park-hotel.si
Office du tourisme de Solčava, Logarska Dolina 9, 3335 Solčava. Tél. : 00 386 (0)3 838 90 04.
E-mail : logarska.dolina@siol.net
www.logarska-dolina.si
Ferme Lenar : contacter Gospod Avgust Lenar.
Tél. : 00 386 (0)3 838 90 06.
Un site avec une version française, où l’on peut réserver la plupart des hébergements, y compris ceux cités dans cette
page : www.slovenia.info
source:Madame Le Figaro.fr


mercredi 13 juillet 2011

5 recettes pour garder sa bonne humeur



Il n’y a pas que le chocolat qui soit bon pour le moral. Faites le plein de bonne humeur et boostez votre moral en savourant nos 5 idées de recettes.









Carottes et radis noir aux agrumes
Pour 6 personnes
Préparation : 30 minutes
Ingrédients : 600 g de carottes, 1 radis noir, 1 orange non traitée, ½ pomelo, ½ citron, 3 c. à soupe d’huile de colza, ½ c. à café de cannelle en poudre, 1 c. à café de piment doux en poudre, ½ bouquet de persil plat, sel, poivre.
Réalisation : - Epluchez les carottes et le radis noir, râpez-les. Pelez l’orange et le pomelo, et coupez-les en rondelles, puis en demi-rondelles. Dans un bol, récupérez un peu de jus d’orange et de pomelo en pressant les peaux.
- Dans un saladier, mélangez les carottes, le radis, les tranches d’oranges et de pomelo et leur jus, la cannelle, l’huile, le piment doux, le persil ciselé et le jus de citron. Salez, poivrez et dégustez.
Pourquoi c’est bon pour le moral ?
Du concentré d’antioxydants couplé à des oméga 3, une recette précieuse pour lutter contre les effets de l’âge. Le radis très peu calorique (15cal/100g), il est riche en potassium, en calcium et 100 g de radis couvrent un tiers des besoins journaliers en vitamine C.


Salade de thon aux pommes

Pour 4 personnes
Préparation : 20 minutes
Ingrédients : 2 boîtes de 100 g de thon au naturel, 3 granny-smith, 150 g de fromage blanc (ou faisselle) allégé, 2 échalotes, 1 citron, 1,5 c. à café de baies de roses, 25 g de cerneaux de noix, ½ bouquet de ciboulette, 2 c. à café de curry, sel, poivre.
Réalisation : - Epépinez les pommes sans les éplucher. Coupez-en deux en petits dés et arrosez-les avec la moitié du jus de citron. Coupez la pomme restante en fines lamelles et arrosez-la avec le reste du jus de citron.
- Dans un saladier, mélangez le fromage blanc, le thon en l’émiettant, les ¾ de la ciboulette ciselée, les échalotes émincées, les cerneaux de noix, les dés de pomme, la moitié des baies roses, le curry. Salez et poivrez.
- Déposez le mélange dans un plat de service. Décorez avec les lamelles de pommes, le reste de la ciboulette et des baies de roses. Servez frais.
Pourquoi c’est bon pour le moral ?
Riche en protéines, pauvre en calories, cette recette apporte des antioxydants, des fibres, des oméga 3, du calcium. C’est l’exemple même de la recette anti-âge.


Noix de Saint-Jacques aux agrumes

Pour 4 personnes
Préparation : 15 minutes
Cuisson : 6 minutes
Ingrédients : 16 noix de Saint-Jacques, 3 échalotes, 2 oranges maltaises, 1 pomelo, 1 carotte, ½ radis noir, 1 c. à soupe d’huile d’olive, 1 c. à soupe d’huile de colza, ½ bouquet de coriandre, 2 c. à café de curry, sel, poivre.
Réalisation : - Prélevez le zeste d’une orange et d’un quart du pomelo et coupez-les en filaments. Trempez-les 1 minute dans un bol d’eau bouillante puis rincez-les à l’eau froide. Pelez la carotte, le radis et coupez-les en fine julienne. Pressez une orange. Pelez l’autre orange et le pomelo à vif et prélevez les quartiers.
 - Dans un plat, disposez les noix de Saint-Jacques. Assaisonnez-les avec le curry, salez et poivrez.
- Versez l’huile de colza dans une sauteuse ou un wok et faites revenir les échalotes émincées, les carottes et le radis pendant 2 minutes. Ajoutez le jus d’orange et faites chauffer pendant 1 minute.
- Dans une autre poêle faites revenir les noix de Saint-Jacques avec l’huile d’olive pendant 2 minutes. Disposez-les dans un plat de service. Nappez-les avec les légumes. Ajoutez les quartiers d’oranges et de pomelo et parsemez avec la coriandre ciselée. Servez chaud.
Pourquoi c’est bon pour le moral ?
Ce plat peu énergétique, riche en protéines, en fibres, en vitamines et minéraux, réunit toutes les qualités d’une cure de jouvence. Le pamplemousse est un fruit riche en vitamine C (60mg/100g) qui a une action contre le vieillissement de la peau et des artères, le cancer, les pertes de mémoires et la baisse de la vue.


Curry de légumes

Pour 4 personnes
Préparation : 25 minutes
Cuisson : 20 minutes
Ingrédients : 20 cl de lait de coco, ½ petit chou-fleur, 1 courgette, 1 aubergine, 1 poivron rouge, 1 blanc de poireau, 100 g de haricots verts, 200 g de carottes, 2 oignons moyens, 2 gousses d’ail, 2 c. à soupe de curry, 10 g de grains de coriandre, 4 gousses de cardamome, 1c. à soupe d’huile d’olive, 10 cl de coulis de tomate, sel.
Réalisation : - Pelez la courgette, coupez-la en 4 dans le sens de la longueur puis en tronçons de 2 cm. Coupez l’aubergine en cubes de 2 cm, sans l’éplucher. Equetez, égainez le poivron et coupez-le en petits dés. Rincez et égouttez le poireau et coupez-le en tronçons de 2 cm. Rincez et coupez le chou-fleur en petits bouquets.
- Equeutez les haricots verts et cassez-les en tronçons de 3 cm. Epluchez les carottes et coupez-les en fins bâtonnets. Pilez les grains de coriandre et les gousses de cardamome dans un mortier.
- Dans une sauteuse, faites chauffer l’huile. Ajoutez les oignons émincés, l’ail haché, le poireau et le poivron, saupoudrez avec le curry, la coriandre, la cardamome et ajoutez le reste des légumes. Salez, faites revenir le tout pendant 5 minutes, ajoutez le lait de coco et le coulis de tomate. Couvrez et faites cuire à feu doux, pendant 15 minutes. Ajoutez un peu d’eau au besoin, pour ne pas que cela attache.
Pourquoi c’est bon pour le moral ?
Une fontaine d’antioxydants, de carotène, de fibres, de vitamines et de minéraux pour un apport de 45 calories par personne. Certains disent que la cardamome a des vertus aphrodisiaques.


Meringués d’abricots

Pour 4 personnes
Préparation : 15 minutes
Cuisson : 15 minutes
Réfrigération : 30 minutes
Ingrédients : 6 abricots frais ou en boîte, 3 blancs d’œuf, 3 c. à soupe de liqueur de framboises, 75 g de sucre en poudre, 1 sachet de sucre vanillé, 15 g de sucre glace, 100 g de framboises.
Réalisation : - Préchauffez le four à 210 °C (th.7).
- Coupez les abricots en deux, ôtez les noyaux et recoupez-les en quartiers, ou, s’ils sont en boîte, égouttez-les. Placez-les dans un plat creux. Arrosez-les avec la liqueur de framboises et le sucre vanillé. Faites-les macérer 30 minutes au réfrigérateur.
- Dans un saladier, battez les œufs en neige, en incorporant le sucre en poudre petit à petit.
- Garnissez un plat à gratin avec les abricots à la liqueur et ajoutez les blancs en neige.
- Faites cuire au four, pendant 5 minutes, puis recouvrez le plat d’une feuille de papier sulfurisé.
- Baissez le thermostat à 180 ° C (th.6) et prolongez la cuisson 10 minutes. Puis laissez tiédir le meringué d’abricots. Décorez-le avec les framboises et saupoudrez de sucre glace. Servez tiède.
Pourquoi c’est bon pour le moral ?
Une recette facile et délicieuse pour lutter contre le vieillissement cérébral. L’abricot contient essentiellement du carotène dont le besoin journalier est couvert par 230 g  d’abricots. Il est riche en vitamine E, en potassium et en fer, en fibres douces non irritantes pour l’intestin. C’est donc un fruit utile dans la prévention des cancers, des maladies cardiovasculaires, pour la peau et pour la régulation de transit intestinal.
source:Femme Actuelle.fr



samedi 9 juillet 2011

Kate et William, d’Ottawa à Hollywood

Deux mois après leur mariage, la duchesse et le duc de Cambridge entament leur première tournée internationale avec le Canada

 



Kate et Will, pardon, la duchesse et le duc de Cambridge, ont entamé le 30 juin leur première tournée internationale. À Ottawa, Leurs Altesses royales ont suivi la fête nationale canadienne, une initiation aux traditions locales, un atelier culinaire autour du homard et une course en bateau-dragon. Entre épreuves sociales et défis fashion : le point sur les premiers pas publics du couple le plus envié d’Angleterre.



Jour 1 : Ottawa. Débarquement royal au Canada pour le premier voyage officiel de Kate et William, duchesse de Cambridge – et bien disciplinée en Erdem, une maison de couture canadienne. (30 juin.)




Après une ovation de Tabernac !, le nouveau über couple s’est très consciencieusement recueilli sur la tombe du Soldat inconnu. (30 juin.)





Jour 2 : Ottawa, toujours. Photo de famille au musée canadien des Civilisations, et premier look de duchesse pour Kate, en robe « Nanette » Reiss aux couleurs nationales, s’il vous plaît. Pour info, elle a prévu quarante tenues pour neuf jours. (1er juillet.)



Frais comme deux gardons et plutôt séduisants, les tourtereaux ont ensuite assisté au spectacle organisé pour la fête nationale. Kate porte une robe de la créatrice Issa, chez qui elle s’était déjà servie pour ses fiançailles. (1er juillet.)





Jour 3 : Montréal. Entre une robe dessinée par Catherine Walker, la couturière fétiche de Diana, et sa bague de fiançailles, Kate est décidemment prête pour le titre de « princesse du peuple » bis. (2 juillet.)




Trois informations de première importance : Kate a la main verte… (2 juillet.)





...William, la dent douce… (2 juillet.)





...Et la cote avec le quatrième âge québécois. (2 juillet.)






Une lune de miel patriotique et décontractée, oui, mais quelque peu chahutée par un groupuscule d’antimonarchistes motivés et bruyants. William a encaissé un « dégage Willy ! », et pire encore… (2 juillet.)





Jour 4 : Quebec City. Kate paonne en Erdem, sauf qu’au lieu de s’éventer au premier rang des défilés, elle va accueillir le Royal 22e Régiment qui rentre d’Afghanistan. Princesse du peuple, on vous dit ! (3 juillet.)





L’épreuve « savoir recevoir des fleurs comme si c’était la première fois » est réussie, haut la main. (3 juillet.)





William est peut-être un poil moins à l’aise avec Pierre, un sans-abri à crête verte passionné de cirque… (3 juillet.)






Jour 5 : île du Prince-Édouard. William a dû montrer de quoi il était capable aux commandes d'un hélicoptère biturbine (un Sea King, pour les aficionados) ; Kate a juste eu à dire good morning en Sarah Burton pour Alexander McQueen. (4 juillet.)





Le premier câlin public du couple royal, qui a bien sûr fait le tour de la Toile. Les faits : le prince console sa duchesse après l’avoir battue à la course de bateaux-dragons. (4 juillet.)




On dirait que Willy a encore mis les pieds dans le plat ! (4 juillet.)






Jour 6 : Yellowknife. Pour rencontrer la tribu des Dénés, les jeunes mariés ont joué sur les accessoires (Kate avec ses Sebago « Poncahontas », Will avec sa ceinture du chef Sitting Bull). Hou-ha-ga-dou Hou-ha-ga-dou Ha ! (4 juillet.)





Sacrés « Rangers d'honneur » pour tous leurs efforts, la duchesse Catherine et le prince William posent dignement au lac Blachford avec le sweat-shirt officiel. Et ça, c’est la classe. (5 juillet.)








Kate aurait bien testé le street-hockey, mais la créatrice Malene Birger (accessoirement chouchoute de Michelle Obama et Samantha Cameron) n’avait pas prévu de genouillères avec sa robe. (5 juillet.)





Jour 7 : Yellowknife, encore. Non, Kate et Will ne tournent pas le dernier épisode de Québec, police judiciaire. Ils constatent simplement les dégâts d’un incendie qui a touché la région en mai. (6 juillet.)






Avant de partir direction Calgary, William fait la connaissance de Riley, un petit garçon handicapé qui s’est mis sur son trente et un pour l’occasion. (6 juillet.)





Jour 8 : Calgary. On soupçonne William d’avoir choisi les militaires les moins gracieux du régiment pour pouvoir briller sur la photo. Kate a pourtant sorti sa robe  pou-pou-pi-dou signée Jenny Packham. (7 juillet.)





Et puis, après quelques shows de rodéo et une initiation aux rites de l’ancien peuple Blackfoot, ils ont décidé de s’installer dans les Rocheuses. (7 juillet.)
source:Madame Le Figaro



L’indépendance du Sud-Soudan, une chance pour les femmes ?

Interview de Jean-Pierre Marigo, chef de mission au Sud-Soudan pour Médecins Sans Frontières

Après des années de conflits avec le nord du pays, le Sud-Soudan devient, ce 9 juillet, un état indépendant. Mais les chantiers sont énormes. Les femmes, qui représentent 65 % de la population du pays, sont les premières victimes d’une situation sanitaire déplorable : une Sud-Soudanaise sur sept meurt en couches. État des lieux avec Jean-Pierre Marigo, chef de mission pour MSF à Juba.
Lefigaro.fr/madame. - MSF pilote depuis 2007 un programme à l’hôpital d’Aweil, dans l’État du Nord-Bahr el-Ghazal. C’est la seule structure de soins pour 780 000  habitants. À quoi ressemble une journée dans cet hôpital ?Jean-Pierre Marigo. - Le projet de MSF est concentré sur les soins à apporter aux mères et aux enfants. Nous faisons des accouchements, du suivi gynécologique et de grossesse, avec ou sans complications, et des césariennes en cas d’extrême urgence.

Nous sommes aussi responsables du service pédiatrique. Depuis que nous sommes là, le taux de mortalité infantile à l’hôpital est tombé de 20 % à 5 %. Le troisième volet de notre travail, c’est d’apporter un service auprès des enfants mal nourris, un problème endémique dans l’ensemble du Sud-Soudan.

Les femmes – notamment enceintes – viennent-elles facilement à l’hôpital ou attendent-elles le dernier moment ?D’un point de vue culturel, les femmes accouchent chez elles, dans des conditions plus que précaires. L’an dernier, on a fait 2 600 accouchements à l’hôpital, ce qui représente 10 % du nombre global pour tout l’État. Au village, elles sont assistées par d’autres femmes qui font office de sages-femmes et ont appris les gestes sur le tas ou se forment entre elles. Avec pour seuls instruments quelques kits de stérilisation distribués par les Nations unies. Donc, les patientes arrivent souvent tard à l’hôpital. Il faut dire aussi que l’accès est compliqué : il n’y a qu’une centaine de kilomètres de routes goudronnées pour tout le Sud-Soudan et l’État du Nord-Bahr el-Ghazal est très étendu.

 




“70 % des postes médicaux ne sont pas pourvus”

Qu’en est-il de la question du personnel ? Formez-vous des locaux chez MSF ?C’est notre problème majeur : recruter du personnel qualifié pour faire fonctionner l’hôpital. Pendant les années de conflits, les jeunes ne sont pas allés à l’école, beaucoup de Sud-Soudanais ont été déplacés, il n’y a plus de centre de formation. Aujourd’hui, on ne trouve pas d’infirmiers, pas de laborantins et surtout pas de spécialistes. MSF travaille ici depuis plusieurs décennies, mais nous avons recruté notre premier médecin sud-soudanais, il y a seulement trois mois. C’est une femme qui a fait ses études au Kenya. Il n’y a pas de faculté de médecine au Sud-Soudan. Une école pour laborantins a été ouverte, il existe une ou deux écoles de sages-femmes, et c’est tout. Selon le ministère sud-soudanais de la Santé, 70 % des postes médicaux ne sont pas pourvus. Alors, on compense par du personnel international. Mais le besoin est si énorme que l’on a dû mettre en place un programme de formation renforcé des locaux.
Une faculté de médecine pourrait-elle voir le jour dans le Sud-Soudan indépendant ?Le ministère de la Santé a édité un plan de stratégie sur les cinq prochaines années, dans lequel il évoque les institutions de formation. Mais cela prendra encore plusieurs années.
Près de 90 % des Sud-Soudanaises ne savent ni lire ni écrire. Comment résout-on au quotidien, dans un hôpital, le problème du manque d’éducation, quand on laisse aux patients des médicaments, et donc des notices d’utilisation ?Des agents communautaires font des réunions d’information et de sensibilisation. On donne peu de médicaments et seulement sur des périodes courtes, avec des prescriptions simples. Pour éviter que l’ignorance entraîne des erreurs, des échanges, des surdoses… on a aussi recours aux pictogrammes.



Une large majorité de femmes a voté oui au référendum avec l’espoir d’une amélioration

Personnellement, êtes-vous optimiste sur les chances du pays de décoller, notamment sur le plan économique ?Il y a une réserve de pétrole importante : les trois quarts des réserves du Soudan sont situées dans le Sud. Mais l’Histoire nous a déjà montré que les ressources naturelles sont des sujets de conflits. J’essaye d’être le plus optimiste possible. C’est une chance pour les Sud-Soudanais de pouvoir gérer leur destin. Une large majorité de femmes a voté oui au référendum avec l’espoir d’une amélioration. Mais quand on regarde la situation actuelle, il y a de quoi se poser des questions. Quelques progrès sont à noter, mais la différence entre l’effort fait et les besoins sanitaires est énorme. Il y a aussi une recrudescence de violences au niveau des frontières. Et la future Constitution est déjà controversée par la société civile. Elle est critiquée notamment par les femmes parce que les garanties d’une meilleure considération leur semblent insuffisantes.
source:Madame Le Figaro.fr



mercredi 6 juillet 2011

WIMBLEDON, 13 JOURS EN 22 IMAGES



Retour en images sur les faits marquants de la 3e levée du Grand Chelem 2011, à Londres qui a vu deux nouveaux vainqueurs : Petra Kvitova et Novak Djokovic.




Touchée à la jambe, Vera Zvonareva est sévèrement bousculée par Tsvetana Pironkova au 3e tour. La finaliste 2010 et N.3 mondiale sera finalement éliminée par la Bulgare, qui se payera aussi le scalp de Venus Williams deux tours plus tard.




Triple finaliste, Andy Roddick a chuté au 3e tour face à l'Espagnol Feliciano Lopez. C'est le plus mauvais résultat de l'Américain à Londres depuis 2008.



Pas de troisième finale de Grand Chelem consécutive pour Na Li. La Chinoise, vainqueur à Roland-Garros, a été battue par Sabine Lisicki 8-6 au 3e set dès le 2e tour.



Encore un Grand Chelem manqué pour Caroline Wozniacki. La N.1 mondiale chute au 4e tour. Et voit ses rêves de premier titre majeur repoussés à plus tard.




Tomas Berdych a été l'une des déceptions de la quinzaine. Finaliste l'an passé, le Tchèque a été sorti par l'Américain Mardy Fish en huitièmes de finale.




Marion Bartoli a créé l'une des sensations fortes du tournoi en éliminant Serena Williams au 4e tour. C'est sa première victoire sur la double tenante du titre, "la plus belle de sa carrière" selon l'intéressée.




Après trois ans d'absence, Richard Gasquet retrouve goût au gazon en se hissant en seconde semaine, comme à Roland-Garros quinze jours auparavant. Il s'inclinera devant Andy Murray au 4e tour en trois sets


Comme sa soeur quelques heures plus tôt, Venus Williams quitte Wimbledon en huitièmes de finale. C'est encore une ancienne vainqueur qui sort prématurément de la compétition. Les deux soeurs revenaient sur le circuit après une longue absence: six mois pour Venus, presqu'un an pour Serena



Vainqueur de David Ferrer en huitièmes de finale, Jo-Wilfried Tsonga est encore le dernier Français en lice chez les messieurs à Londres. Llodra, battu par Djokovic, et Gasquet, victime de Murray, ne passeront pas le 4e tour.


Quart-de-finaliste en 2009, Sabine Lisicki a signé son retour à Wimbledon avec un statut d'invitée en éliminant Na Li au 2e tour et Marion Bartoli en quarts de finale. Maria Sharapova stoppera son plus beau parcours à Londres en demi-finales.




C'est l'un des moments forts de la quinzaine : Jo-Wilfried Tsonga a réussi à dominer Roger Federer pour se qualifier pour sa première demi-finale à Londres




Roger Federer ne remportera pas de 7e titre à Wimbledon. Le Suisse a perdu face à Tsonga son premier match de Grand Chelem en menant deux sets à rien.



C'est la révélation du tournoi. Bernard Tomic est sorti des qualifications pour aller jusqu'en quarts de finale face à Novak Djokovic. Robin Söderling (au 3e tour), Nikolay Davydenko, Igor Andreev et Xavier Malisse ont été ses victimes.



Stoppé pour la 3e fois en demi-finale de Wimbledon, Andy Murray ne succèdera pas encore à Bunny Austin, dernier Britannique à avoir joué une finale à Londres. La faute à un Rafael Nadal étincelant face à lui.



Jo-Wilfried Tsonga ne résiste pas à Novak Djokovic, trop fort aux portes de la finale. Malgré des plongeons sur le gazon anglais, le Français s'incline en quatre manches. Mais gagnera six places au classement ATP.



Vainqueur de Tsonga, Novak Djokovic réalise ce qu'il vient d'accomplir : il jouera sa première finale à Wimbledon et prendra la première place mondiale



Petra Kvitova s'offre son premier majeur à l'âge de 21 ans. La Tchèque devient la plus jeune vainqueur à Wimbledon depuis Maria Sharapova, son adversaire battue en finale.


Plus de mal à l'épaule droite pour Maria Sharapova, mais pas de 4e titre majeur non plus. La Russe, déjà vainqueur à Londres à 17 ans, a été battue en finale par Petra Kvitova (6-3, 6-4).



Mike et Bob Bryan ont égalé le record de victoires en Grand Chelem dans l'ère Open de Woodford et Woodbridge en remportant leur onzième titre majeur à Londres, leur deuxième à Wimbledon.



Novak Djokovic arrache son premier titre de Wimbledon des mains de Rafael Nadal, qui visait son 11e majeur. Le Serbe bat l'Espagnol pour la 5e fois de suite en finale et remporte son troisième titre en Grand Chelem.



Novak Djokovic, vainqueur de 48 matches sur 49 en 2011, est désormais seul au monde après huit ans de domination du duo Federer-Nadal. Mais pour combien de temps ?
source: eurosport.fr



 

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